lundi 28 février 2011

Réaction à un article

Je viens d'envoyer ce courriel à M. Lagacé. C'est la première fois que je réagis à un article, je ne sais pas si je vais avoir du feedback.

Bonjour M. Lagacé

Je vous écris ce matin en réaction à votre article « Où étiez-vous, camarade Carbonneau ? ». Je suis un étudiant en relations industrielles à l’université Laval et je ne suis pas d’accord avec votre affirmation disant que le juge de la cour d’appel a créé un trou dans l’article 109.1 du code du travail, aussi appelé la loi anti-scab. En effet, il n’a jamais été de l’intention du législateur d’interdire la sous-traitance externe lors d’une grève ou d’un lock-out. Effectivement, aucun des paragraphes de cet article ne fait référence à cela et c’est pour cette raison qu’il y a eu une consultation publique à l’assemblée nationale afin d’en modifier la portée.

Bien que j’aie à cœur les intérêts des travailleurs, je ne peux pas être en accord avec leurs revendications de modifier le code du travail pour empêcher l’employeur d’utiliser la sous-traitance externe lors d’un conflit. La raison est bien simple et je vous invite à écouter les propos d’Alain Barré, professeur en droit du travail au département des relations industrielles, lors des consultations publiques du 2 février (http://www.assnat.qc.ca/fr/video-audio/AudioVideo-34261.html) pour avoir une argumentation complète. Mais en quelques mots, si le code du travail est modifié pour empêcher une telle pratique de la part de l’employeur, cela aurait comme conséquence de modifier complètement l’équilibre du pouvoir entre employeur et syndicat à la faveur des syndicats mais seulement dans certaines circonstances ! Puisque le code du travail ne s’applique qu’au Québec, il aurait été d’une facilité déconcertante pour Quebecor d’ouvrir les bureaux QMI en Ontario ou aux Etats-Unis et les prétendues nouvelles dispositions de la loi anti-scab n’auraient eu aucun effet. Le même raisonnement s’applique pour pratiquement toutes les grandes entreprises qui ont les moyens de transférer une ligne de production, une usine ou leurs bureaux à l’extérieur du Québec. L’objectif de la loi ne serait donc pas atteint.

Par contre, lors de négociation d’un syndicat avec une petite entreprise, le rapport de force serait complètement débalancé à la faveur du syndicat puisque l’employeur n’aurait plus la possibilité de continuer sa production à l’aide de la sous-traitance externe. L’objectif de la loi étant de pousser les parties à négocier, plusieurs syndicats seraient probablement poussés à faire la grève puisque la partie patronale ne pourrait continuer sa production qu’avec l’aide des cadres engagés avant le début des négociations. Je suis d’avis que de telles dispositions pourraient avoir comme conséquence directe l’exil de plusieurs grandes entreprises et la perte de nombreux contrats pour les plus petites entreprises puisqu’il n’est pas rare que les organisations qui donnent des contrats à des entreprises syndiquées évaluent la nature et la stabilité des rapports collectifs de travail afin de s’assurer qu’un arrêt de travail ne mette pas arrêter leur propre production.

mercredi 23 février 2011

Nouvelle série québécoise

J'ai commencé à écouter 19-2 de Podz à Radio-Canada voilà deux jours. C'est une nouvelle série policière avec Claude Legault et Réal Bossé. Ce soir, genre drete la, c'est le quatrième épisode et je l'écoute en direct. C'est la première fois depuis des lunes que j'écoute une télé-série en direct. La série est vraiment bien réalisé et elle nous garde sur notre halène pendant pas mal toute l'épisode. Le seul truc que j'ai à reprocher, c'est que les deux acteurs principaux ont des visions et / ou des souvenirs qu'on voit live pratiquement juxtaposé avec l'image en temps réel. Reste que ça fait du bien de voir une série québécoise qui traite d'autre chose que de comédie ou de drame!

À voir sur tout.tv si vous n'avez pas vu les premiers épisodes!

lundi 21 février 2011

J'avance sur place

C'est fou comment l'humain est bien fait. En fin de semaine, Martine me disait quelque chose du genre en parlant que c'était fou tout ce que l'humain avait inventé, toutes les saveurs (de bières).

Moi ce qui m'impressionne, c'est que je peux écouter de la musique 8 heures dans une journée (c'est loin d'être un exploit dans mon cas) et ne pas me souvenir de plus de 4-5 chansons qui ont joués. C'est donc dire que je peux facilement faire abstraction de la musique. Les gens me demandent souvent comment je fais pour travailler / étudier avec de la musique et cela l'explique parfaitement. Par contre, en plein milieu d'une chanson, il y a un couplet qui me frappe en pleine face, qui me sort de ma torpeur, comme si il n'y avait jamais eu rien d'autre que la chanson dans ma tête depuis quelques secondes. Aujourd'hui, c'est un couple de la chanson, les maisons de la rue kétanou :

Et mes rêves d'acteur dans ton cinéma
Où mon rôle serait d'être amoureux de toi
Où mes bras en une tanière abriteraient le paradis
Que font tes : « je t'aime », que sont tes : « je t'aime »
Que font tes : « je t'aime », que sont tes : « je t'aime »


Je rêve d'être une tanière, serais-tu mon paradis?

Mario Kart dans la vrai vie?



C'est amusant, c'est comme dans le jeu! Le gars qui est dernier gagne parce qu'il a pogné un ? trop cool juste avant la fin :)

Fin de semaine au Canada

En fin de semaine, j'ai rendu visite à mon ami Vincent et sa copine Jane à Ottawa avec mes potes Martine, Dave et Isa! Nous sommes partis vers 16h00 vendredi soir en route vers la capitale du Canada. On a été chanceux de ne pas pogner trop de trafic et à Québec et à Montréal. Après un arrêt souper au Benny un peu avant Montréal, on a suivi les indications que Vince m'avait donné au téléphone un peu plus tôt puisque Dave avait oublié les indications chez lui!

Nous sommes arrivés un peu avant 22h00 et on a pris une couple de bières avant d'aller se coucher. Il ventait beaucoup vendredi soir à Ottawa et ça m'a donc pris un peu plus de temps à m'endormir à cause de ça. J'étais aussi le seul à dormir sur autre chose qu'un lit puisque Vince a une chambre d'ami et qu'il avait gonflé son matelas dans son bureau pour Martine. Lorsque le soleil s'est levé, je me suis rendu compte que les rideaux n'étaient pas assez long pour la fenêtre de la porte patio puisqu'il y avait un beau 5 pouces de jeu en dessous et comme je dormais par terre, j'ai eu le soleil en pleine face dès qu'il s'est levé!

Après avoir mangé un super déjeuner, on a décidé d'aller marcher dans le parc de la Gatineau près du lac Meech. On se demande encore comment on a fait pour traîner Dave la bas! Mais une fois rendu la bas, nos "pires" prédictions se sont avérées juste. Il ne marchait pas vite, il chialait tout le temps et ne profitait pas de la journée! Finalement, on a réussi à marcher deux heures et il n'est pas mort mais il avait mal partout, comme bien des gens avec nous d'ailleurs. On a coupé à travers une piste de ski de fond pour s'épargner le bout difficile de la randonné tout en passant par deux arrêts avec vu sur la vallée! Sur le chemin du retour, la piste était un peu plus difficile puisqu'elle descendait et que c'était un peu glacé. On a même eu de la difficulté à suivre le chemin alors qu'il passait près d'une rivière et je remercie le ciel d'avoir fait en sorte que mes bottes soient imperméable puisque je me suis mis les deux pieds dans l'eau lorsque j'essayais de retrouver le sentier puisque la rivière débordait en dessous de la neige et / ou cela datait de la pluie de la veille. Tout ça pour dire qu'après deux heures de marche, nous étions tous sain et sauf à la voiture. Dave avait mal partout, Martine avait vraiment froid puisqu'on devait s'arrêter souvent pour attendre les retardataires et Jane avait faim. Cela faisait changement de la dernière fois ou c'est moi qui traînait de la patte puisque ma jambe me faisait souffrir!

Pour le retour, il fallait absolument trouvé un poste d'essence puisque Dave, en entrant dans le parc nous a annoncé que sa lumière de gaz venait de s'allumer. On venait de passer une dizaine de station de service mais cela nous lui avait pas passer par la tête d'en mettre! Par chance, il y en avait un sur le chemin du retour mais le gaz devait être au moins 15 sous plus cher qu'en ville! On est allé prendre l'apéro aux Brasseurs du temps, une brasserie dans le genre de Linox en plein centre ville de Gatineau. La place est cool et on avait même passé la soirée la lorsque j'avais rendu visite à Vince voilà 2 ans sauf que le service laisse à désirer pas mal! En effet, en arrivant, on nous fait sentir mal de ne pas avoir de réservation et on nous propose une table qui devra être libérer pour 18h45. Il est environ 16h30 et on vient juste prendre une bière alors on a le temps en masse mais on nous répète qu'on va nous foutre à la porte à cette heure la après nous avoir proposé d'aller au bar, proposition rejetée dû au fait que c'est poche en maudit être au bar alors qu'on est sept! Le serveur ne vient pas nous voir avant un bon 15 minutes et on commence à s'impatienter! Heureusement, une fois qu'il a pris nos commandes, tout va mieux puisque la bière arrive vite et même les deux nachos qu'on a pris sont prêt rapidement! Personnellement, je n'ai pas osé prendre une horloge qui est l'équivalent des carrousel de la Barberie puisque c'était quelque chose comme 18.50$ mais j'ai bien aimé ma Kaputt Mauer une cuivré un peu épicée.

De retour chez Vince avec plein de bouteilles de vin, on a mis les lasagnes au four. Le souper a été bon, le vin aussi et après le souper, j'ai massé Dave parce qu'il avait vraiment mal. Au début, je pensais qu'il disait n'importe quoi mais il avait clairement le dos plein de nœud. Finalement, ça lui a fait beaucoup de bien et il ne voulait plus que j'arrête. Les filles étaient tellement jalouses qu'elles ont finies par m'en demander aussi. J'ai donc massé le monde pendant 30-45 minutes pis tout le monde était content! Je crois que j'ai un peu trop détendu Martine puisqu'elle s'est mise à bailler aux corneilles et elle est allée se coucher pas longtemps après qu'on eut joués trois tours du jeu ou l'on se colle une carte sur le front et qu'on doit deviner le nom de la personne, de l'objet ou du lieu qui y est inscrit. Le lendemain, Isa n'en revenait pas encore comme j'avais réussi à régler une partie de son problème de dos en si peu de temps. Bref, j'ai fais une bonne job et c'est moi qui a mal au dos aujourd'hui!

Après que Vince ait sorti le porto, qu'on ait regardés les photos de la journée et montré celle de l'halloween à Vince et Jane, on s'est mis à jouer à la PS3. On a joué quelques course à Gran Tourrismo 5 et après on a joué au Mortal Combat Vs Capcom. La meilleure était Isa qui nous a avouée avoir joué à ce genre de jeu pas mal souvent étant plus jeune! Finalement, je me suis couché vers 2h00 après avoir pris soin d'étaler des boites le long de la porte patio pour dormir un peu mieux dimanche matin. Mis à part le fait que JC m'a réveillé en essayant de monter son lit de camp et qu'il ronflait pas mal, j'ai quand même bien dormi dans les circonstances. Au matin, Vince nous a fait une omelette et nous sommes partis vers Québec à midi pour arriver à 16h30 à Loretteville. Ça été une maudite belle fin de semaine malgré le 10 heures de route et j'étais bien content de voir Vince!

lundi 14 février 2011

La peur de ma vie à 4h00 du matin

Je dormais paisiblement. Je rêvais à je ne sais plus quoi parce que, comme d'habitude j'oublie mes rêves à la seconde que je me réveille. Cette nuit, j'ai été réveillé en panique à 4h00 du matin. Le cœur courant la chamade, je regarde l'heure en me demandant qui es-ce qui peut bien frapper fort à la porte comme ça. En effet, je me suis fais réveillé par un bruit qui ressemblait à des coups de poings sur la porte. En premier, je me suis dis que si quelqu'un voulait me réveiller, qu'il avait juste à frapper à nouveau. Après ça, je me suis dis que c'était peut-être un voleur ou la police. En moins de 3 secondes, il était déjà trop tard. J'avais peur sans savoir pourquoi et je devais absolument aller voir à la porte. J'ai mis mes joggings parce que je savais qu'il devait venter pas mal dehors puisqu'il annonçait une petite tempête. En ouvrant la porte, j'ai vu ma pelle par terre devant la porte et j'ai compris que ce devait être le vent qui l'avait fait tomber, que le bruit avait dû être amplifier par le fait que je dormais ou que le vent a souffler vraiment fort. Reste que, j'ai vraiment eu la chienne pour rien !

vendredi 11 février 2011

Une bonne semaine au ultimate

Depuis un mois, je remplace dans l'équipe de mon chum Dave le mercredi soir au ultimate. C'est cool parce qu'ils ont une équipe le fun et ça me permet de me changer les idées après une journée d'étude. Cette semaine, on a joué deux grosses games contre une équipe pas mal bonne!

Pendant la première partie, le début du match ne se passait pas comme on l'entendait. À un certain moment, on perdait quelque chose comme 7-2. Sur une game de 13, il faut pas trop attendre pour se réveiller! On a pris un temps mort et le tempo du match a basculé. On a égalisé à 8-8 et on a gagné le match 13-9! On a donc fait 11 points après notre temps mort contre deux seulement. C'est ce qui s'appelle changer le momentum d'un match! Du côté personnel, ce qui m'a le plus impressionné, c'est que j'étais jumelé à un joueur vraiment plus fort que moi et mes cuts le déculottait à chaque fois! Je feintais d'aller vers l'arrière afin de prendre un dump et quand il s'approchait, je faisais ma cut "up the line" pendant que lui se demandait ou j'étais rendu.

À la deuxième partie, il n'a pas mordu autant que ça mais ça me permettait de prendre le dump justement et de faire le swing donc le résultat était aussi bon sauf qu'il n'avait pas l'impression de se faire manger tout rond! On a aussi débuté le match tranquillement mais on a eu l'avance pendant tout le match même s'ils ont quasiment réussi une remonté vers la fin du match.

Hier soir, c'était la soirée pour le ultimate open. Je ne me souviens plus si j'en ai déjà parlé ici mais le jeudi, on fais du 5 contre 5 sur la longue du terrain et avec des changements continus, pendant le jeu. Bref, il n'y a pas d'arrêt et on joue sur la longueur des trois terrains qu'on utilise normalement pour jouer 4 contre 4. C'est beaucoup plus épuisant et comme on ne peut pas changer n'importe quand pour ne pas laisser filer notre joueur tout seul dans la zone de but, il faut faire attention de ne pas rester trop longtemps sur le jeu afin de ne pas s'épuiser pour le reste de la soirée. Hier, on a eu la mauvaise surprise de voir qu'il y avait des absents qui ne nous avaient pas avertis et en plus, un joueur est arrivé à l'heure qu'il faut arriver mais pour la game suivant notre partie. On a donc joué à 10 et sincèrement, c'est vraiment le minimum à moins d'être des bêtes sur le cardio. De l'autre côté, ils étaient au moins 15! Quand on sait qu'entre 10 et 12, il y a une méchante différence, je vous laisse imaginer entre 10 et 15! Mais bon, on ne s'est pas laissé abattre par cela. On sait que c'est toujours des matchs le fun contre eux puisque, plus tôt dans l'année, o a perdu le premier match par un, on a gagné le second par six. En revenant de la pause des fêtes, on a perdu encore une fois par un! Le match a été serré tout le long, les weed prenant l'avance que par trois points maximum. Un peu avant la demi, on a pris un temps mort pour resserrer les rangs et cela a porté fruit puisqu'à la demi, nous étions qu'un point derrière avec un score de 15-14.

La deuxième demi est toujours un peu plus difficile puisqu'on a la première demi dans le corps et que les changements sont loin, comme au hockey en deuxième période. La seconde était encore serrer et à moins de 15 minutes de la fin, on a pris notre deuxième temps mort afin de reprendre notre souffle. C'est à ce moment qu'il s'est passé de quoi de vraiment inusité. À la reprise, Dany m'a fait une passe dans notre zone de but qui a quasiment été intercepté par un joueur adverse. J'ai même du plonger pour essayer d'attraper le disque après qu'il ait réussi à le faire dévier de sa trajectoire mais le gars courrait tellement plus vite que moi qu'il a réussi à le frapper à nouveau. Malheureusement pour lui, s'il réussissait un attraper, c'était un calahan et il marquait un point. Au lieu de cela, ils ont repris le disque à notre ligne de but et toutes leur équipe a eu une crampe au cerveau puisqu'ils ont remonté le terrain en sens inverse! Le pire, c'est que, lorsque leur joueur a attrapé le disque dans sa propre zone de but, il l'a laissé tomber par terre! C'était donc un revirement et nous en avons profité pour marquer un point!

À six minutes de la fin, nous perdions toujours par un point 24-23. Les Weed ont réussi à marquer un point et ils nous restaient donc moins de 5 minutes pour en marquer deux. Nous avons réussi à égaliser le pointage avec moins d'une minute à faire. Sauf que rien n'était encore gagné puisque l'autre équipe commence avec le disque après un point, nous avons réussi à provoquer un revirement et nous avons monté le disque tranquillement le long de la ligne. Nous avons pris notre temps sachant très bien que l'heure du match était passé et que le prochain point, le point ultime, était le gagnant. Nous n'avons pas forcé le jeu et lorsque nous avons réussi à recentrer le disque, Charles a tenté un Hammer et Simon l'a attrapé de justesse le long de la ligne dans la zone de but! Nous prenions les devant pour la première fois de la partie (1h20 de match) et cela nous donnait la victoire!

lundi 7 février 2011

30 ans à Marsha!

Cette année, c'est l'année des 30 ans à pas mal d'amis puisqu'on est pratiquement tous nés en 1981. Cette fin de semaine, c'était la fête à Marsha. Plus tôt cette année, j'avais sondé les gens pour savoir s'ils étaient intéressé à louer un chalet pour la fin de semaine afin de la fêter. Malheureusement, il n'y avait pas assez de monde de disponible et c'était pas mal cher. On c'est donc retrouvé près d'une dizaine de personnes dans un restaurant indien sur René-Lévesque. C'était cool comme souper sauf que mon estomac n'a pas apprécier la cuisine indienne et j'ai donc fait l'aller-retour entre ma chaise et les toilettes plus souvent que le reste du monde réunis.

Par la suite, on est allé chez Melmo pour prendre une petite bière et jouer à un jeu de société. On a joué à tic-tac-boom, un jeu que Melmo disait avoir jouée qu'une seule fois et qu'elle s'était chicanée avec les autres sur les règles. En fin de compte, on a joué deux parties sans histoire et c'est un jeu quand même cool. Marsha avait l'air contente de sa soirée malgré le fait qu'elle n'ait pas pris d'alcool puisqu'elle l'avait échappée la veille dans un autre party!

Vendredi soir en deux temps

Vendredi soir, j'avais rendez-vous au temps perdu avec une fille pour aller prendre un verre. C'est un peu poche de se donner rendez-vous dans un bar l'hiver parce qu'on ne peut pas attendre la personne dehors et une fois assis à l'intérieur, il y a peu de chance qu'on voit la personne qu'on attends entrer. C'est pas mal ce qui c'est passé puisqu'après avoir vu un manteau rouge et des cheveux blond qui ressemblait aux cheveux de la fille que j'attendais trois fois au loin, j'ai décidé de la texté pour lui dire ou j'étais et comme de fait, elle est apparue quelques secondes plus tard.

La pinte de bière commandé, je savais déjà qu'elle faisait un effort pour être la puisqu'elle n'est pas trop type bière. On s'est mis à jasé pour un peu mieux connaître l'autre. Je m'étais dis avant d'arriver de ne pas oublier de poser des questions sur ce qu'elle fait pour démontrer que ça m'intéresse ce qu'elle dit. Je ne pensais pas avoir une démonstration de la véracité de tout cela le soir même. En effet, j'ai vraiment eu l'impression qu'elle se foutait un peu du truc que j'étais en train de dire pendant la soirée puisque j'ai parlé pendant un moment sans être interrompu. Je ne sais donc pas si c'était plate ce que je disais ou si elle voulait juste pas me couper. Une chose est sur, c'est qu'elle ne manque pas de conversation. La soirée est passée quand même vite et nous sommes partis un peu avant une heure du matin puisqu'elle devait dormir un peu car elle allait faire du ski le lendemain.

Une fois dehors, le bout plate s'en vient. Sa voiture est juste à côté de la porte et il y a le petit malaise de fin de soirée que chacun ne sait plus trop quoi dire et quoi faire. Deux becs ben ordinaire et je me dirige vers ma voiture parce que je commençait à ne pas être à l'aise. C'est à ce moment que la soirée pris une tournure vraiment poche. Ma voiture n'était plus la ou je l'avait stationné! Le petit remblai de neige m'indiquait que celle-ci avait été remorquée. Je passais donc d'une soirée cool à 15$ à une soirée qui se termine vraiment mal à 130$. J'ai essayé de rappeler mon amie mais son téléphone devait être dans son sac alors j'ai dû appeler une autre amie qui était en train de se coucher pour qu'elle vienne me chercher et me rapporter à ma voiture qui n'était pas si loin que cela. Ça fait cher du kilomètre de déplacer une voiture de 2KM pour 115$!

Au moins on s'est dit qu'on allait se revoir bientôt!