jeudi 28 octobre 2010

Les stages

Je viens d'apprendre une bonne nouvelle, qui va demander confirmation tellement elle est cool. Je lisais le site web de mon département à l'université et je me suis rendu compte que les stages comptais pour 9 crédits dans notre cheminement! Cela équivaux à trois cours! Moi qui pensais être "obligé" de faire un stage en même temps qu'un cours d'été pour finir mon bacc en 3 ans, je me rend compte que j'ai bien plus de possibilité!

Si je fais un stage pendant l'été, cela fait en sorte que je vais avoir plus de 90 crédits pour mon bacc puisque je vais continuer à prendre 4 cours afin d'être à temps plein. Si je ne fais pas de stage, j'ai juste à faire un cours d'été afin de finir mon bacc avec 4 cours par session. Déjà que je pensais être obligé de suivre un cours en particulier (pratique de GRH) l'été prochain puisqu'il se donne qu'à l'hiver et que je ne croyais pas pouvoir le prendre cet hiver à cause des cours obligatoire, je me rend compte que ce n'est pas du tout le cas et que je vais pouvoir le suivre cet hiver sans pour autant repousser ma fin de bacc! Dans le meilleur des cas, j'aurai un stage rémunéré cet été!

Dire que j'étais persuadé qu'il fallait que je fasse 2 stages de 1 crédit comme pour mon bacc en informatique en plus de tous mes autres cours! Je pouvais ben pas arriver!

Ce sera une prochaine fois

L'autre semaine, j'étais fier de moi après avoir entamer la conversation avec une jolie inconnue. L'étape suivante, ou plutôt ultime, étant de la charmer, c'est loin d'être facile à faire quand on est tout en sueur et le souffle court après 45 minutes d'exercice intense. C'est vraiment le bout plate de la relation. En faire assez pour qu'elle comprenne nos intentions mais pas trop pour pas qu'elle parte en courant. Il faudra que j'opère bientôt. Cette semaine n'a pas été la bonne, faudra que ce soit la prochaine.

lundi 18 octobre 2010

Samedi de mariage

Samedi soir, j'étais invité au mariage du gars avec qui je travaille. Pendant la game, parce que oui on a été chanceux d'avoir deux games en deux soirs, je n'étais plus trop sur d'y aller parce que, à part le marié, je ne connaissais personne! En fin de compte, avant de prendre ma douche, j'ai décidé de prendre une bière rapidement et j'ai pris une bière de route en sortant. J'en ai profité parce que le mariage était de l'autre côté de la rivière et je suis persuadé que c'est plus rapide pour moi d'y aller à pied qu'avec ma voiture!

Une fois la bas, j'ai jasé avec un le chum de la cousine du marié pendant un bout parce que lui non plus ne connaissais pas grand monde. Quand les mariés ont fini de prendre des photos avec le monde, la mariée a donné son bouquet et ensuite ça été au tour du marié de prendre la jarretière de la marié. L'animateur de la soirée nous a demandé de nous mettre en mottons et lorsque le marié a lancé la jarretière, elle m'est tombé directement dans les mains !

Par la suite, j'ai décidé de passer le reste de la soirée sur le danse floor (incroyable mais vrai) parce que la totalité des gens de mon âge était la. J'ai fini par pouvoir jaser avec des filles pis en fin de compte je suis parti vers minuit quand le party c'est fini.

Soirée de gars au Méphisto

Vendredi, notre pote Frank nous avait proposé d'aller en virée une au Méphisto! On est arrivé la après la game du canadiens. Ils avaient gagnés donc personne n'étaient de mauvaise humeur! Je pensais allé prendre une bière pis rentrer tôt parce que je suis en rush de mi-session. Comme ben des fois ou je pense ne pas rentrer tard, c'est dans ces moments la que ça dégénère pis qu'on rentre tard! En fin de compte, pendant mon premier buck, j'ai proposé au gars de s'acheter un petit shooter de JagerMaster pour starter la soirée, on a été neuf a trouver que c'était un bon plan! Ensuite, les gars on mit 20 $ dans le jukebox pour être sur de ne pas entendre de "criss de hip hop" de la soirée. Pas longtemps après, on c'est mit à chanter des succès de Queen, des Colocs pis de plein d'autre bon band. Il n'y avait pas beaucoup de monde dans le bar à part nous et c'était une criss de bonne chose parce qu'on devait avoir l'air d'une gang de gars qui savent pas sortir !

En fin de compte, on est parti de la vers 2h30 JC et moi et on c'est commandé une pizza histoire d'avoir un bon fond de gras avant de se coucher. Il a reçu deux call de la job vers 3h00 et c'était assez tordant de le voir aller à répondre à ces clients comme s'il n'était pas saoul!

Cool soirée "comme dans le temps" au Méphisto !

jeudi 14 octobre 2010

L'utilisation des médias

Lorsque je suis tombé sur des images en direct du sauvetage des mineurs mardi soir, j'ai été sous le choc. Pas sous le choc de les voir enfin sortir de leur trou mais plutôt de voir qu'enfin la télévision a montré un événement heureux en direct. On est maintenant habitué aux avions qui font tombés des tours ou au bombes qui font exploser des écoles. La, malgré le fait que les médias auraient pu être un peu plus classe en laissant plus d'espace aux familles qui se retrouvaient pour la première fois en près de 70 jours, on pouvait au moins ce réjouir de la fin heureuse à laquelle on assistait.

Ce matin par contre, je suis tombé sur le cul en voyant un article de la direction du journal de Montréal voulant "rétablir les faits" dans leur négociation collective avec leur employés qui dure depuis tellement longtemps que certaines personnes croient qu'il n'y a plus de conflit à ce journal.

Je suis dégoûté de la tactique de l'employeur et voici quelques exemples tiré de leur site web. Premièrement, ce qui saute au visage, c'est le tour de magie que la direction à fait afin de pouvoir écrire dans un même article que les employés auraient la garanti d'emploi alors qu'il y aurai 201 mise à pied, ce qui représente près de 80% du personnel!

Ensuite, cela fait 21 mois (à un trimestre de faire deux ans) que le journal est en lock-out (moyen de pression légal de la direction qui ferme l'établissement afin de mettre de la pression sur le syndicat, je ne parle pas du flou juridique à propos des employés à la pige ici) et dans leur offre, ils sont tous fier de dire que les salaires seraient inchangés et qu'il y aurai des augmentations dès la deuxième année! Cela fait près de deux ans que l'employeur économise le salaire de 253 personnes. Ces salariés n'ont plus le même pouvoir d'achat qu'avant avec ce salaire et ils prétendent que c'est un avantage que d'avoir une augmentation après trois ans.

Dans une moindre mesure, sur les 12 congé fériés, il y a en a 8 qui sont obligatoires, c'est donc 4 jours de congé (ou le journal est probablement fermé).

L'employeur a aussi le culot de faire un beau graphique exprimant le salaire de ces employés. Premièrement, c'est assez ordinaire de crier sur tous les toits le salaire de ces employés et en plus, c'est le salaire maximum pour chaque type d'emploi qui est indiqué! Salaire qui, soit dit en passant, à été négocier et accepter par ce même employeur lors de la dernière convention collective...

On termine avec les indemnités de départ des employés. Ici, c'est assez complexe puisque les salariés qui seront remerciés auront tendance à faire le calcul par rapport à l'argent perdu pendant le lock-out ce qui, légalement n'est pas la bonne chose à faire. Par contre, l'employeur a beau jeu de dire qu'il donne un gros montant d'argent alors qu'il économise bien plus depuis le début du lock-out.

Je comprend donc parfaitement les employés d'avoir refusé cette proposition dans une si grande majorité. Par contre, j'ai peur que l'employeur n'offre jamais quelque chose de mieux ou si c'est le cas, ce ne le sera plus en prenant en compte la durée du lock-out.

Se lancer dans le vide

Théoriquement, c'est tellement facile de ce laisser aller dans le vide. On n'a qu'à lâcher prise, ne plus combattre ou mettre d'énergie. Pratiquement, c'est une autre histoire! Pour certain, se laisser tomber dans le vide en bungee est une chose impensable. Pour d'autre, le simple fait de se laisser aller dans les bras de quelqu'un vers l'arrière demande une force incroyable.

Hier, je me suis laissé aller mais il n'y avait pas d'élastique pour me retenir ou un ami pour m'attraper. J'étais seul devant une fille qui pourrait me plaire si je pouvais la connaître un peu mieux mais qui, physiquement, me plaît définitivement. J'ai toujours été de ceux qui affirme que les filles ont simplement besoin de faire un beau sourire aux hommes pour les forcer à enclencher la conversation. Ça faisait deux semaines qu'elle m'en faisait pis qu'à part des bonjour, je n'avais pas dit grand chose d'autre.

Hier, donc, j'étais à côté d'elle après le spinning. Habituellement je fais mes étirements dans la salle mais puisque j'avais des questions pour la prof et que le cours d'après commençais, je suis sorti. Un salut de "politesse", quelques secondes qui passe et je me suis laisser aller.

Petite discussion sympathique, du "small talk" tout ce qu'il y a de plus banal mais il y a bien quelques questions qu'elle a posée qui pourrait bien être une façon d'en apprendre plus sur mon état civil! On verra bien ce qui se passera dans les prochaines semaines!

jeudi 7 octobre 2010

Semaine interminable

Cette semaine n'en fini plus de ne pas finir! Tout d'abord, il faut savoir qu'avec l'université, je me suis organisé pour avoir un horaire qui me permet de me lever sans cadran la plupart du temps. Puisque je n'ai pas été à Québec de la fin de semaine et qu'il fallait que je finisse d'étudier mon examen de lundi midi, je me suis lever tôt lundi. Mardi, j'ai dû me lever tôt aussi car je devais aller porter ma voiture au garage pour la faire réparer suite à mon accident de voilà deux semaines. Ensuite, je devais aller rencontrer mon docteur pour une rencontre post-opératoire pour mon nez. Il m'a dit que tout c'était bien déroulé et que j'avais encore un peu de gale du côté droit et de continuer à mettre de la solution salée dans le nez pour aider à la cicatrisation. J'avais amener mes livres de droit puisqu'on sait toujours quand on entre mais on ne sait jamais quand on sort des hôpitaux. En fin de compte, je suis sorti un peu avant midi et je me suis rendu directement à l'université pour finir d'étudier avant mon cours de droit du travail. J'étais donc pas mal fatigué pour le cours ou il faut absolument être en forme! Pendant le cours, il nous annonce une période d'encadrement pour ce jeudi à 15h30 à l'université. Le problème, c'est que je travaille cette journée là! Va donc falloir que je trouve un moyen de faire ma journée et d'aller à l'université dans la même journée.

En fin de compte, j'ai décidé d'arriver très tôt le matin. J'ai calculé qu'il fallait que je me lève à 6h00 du matin pour avoir le temps de me lever et d'aller prendre le bus. Le problème, c'est que dans la nuit de mardi à mercredi, je me suis cru jeudi matin et j'ai ouvert mon cadran à la seule journée ou je pouvais dormir un peu. Résultat, mon cadran a sonné à 6h00 et j'ai sacré après moi pendant 30 secondes, le temps que je me retourne pour m'endormir à nouveau. Puisque j'ai du spinning le mercredi soir, que le jeudi, j'ai du ultimate (et que cette semaine je dois déménager les divans de chez mes parents à chez nous!), j'ai continué mes lectures de la semaine le mercredi matin et fin d'après midi. Après mon spinning hier soir, je me suis couché crevé ben raide tout en sachant que je ne dormirai pas beaucoup puisque mon cadran allait sonné à 6h00 et que, cette fois-ci, il allait être à la bonne heure.

Comme de fait, ce matin, il a sonné trop tôt ce foutu cadran. Imaginez, il faisait encore noir, pas sombre la, noir! Il pleuvait et j'avais l'air bête. J'ai pris le bus et je suis ici depuis beaucoup trop tôt. Ce soir au moins, je vais avoir les divans à mes parents et je vais pouvoir me débarrasser de mes vieux divans tout défoncé!

Mais le mieux la dedans, c'est que, demain soir, j'ai invité mes vieux potes à souper chez nous pour un souper de gars qui, je l'espère, va dégénérer comme on est capable de le faire afin de me donner l'énergie de faire des devoirs le restant de la fin de semaine puisque mon rush de mi-session est commencé et le tout culminera le 23 octobre, date de mon examen de mi-session en droit du travail et début "officiel" de la semaine de lecture!

Hématome sur les cuisses!

J'espère que le fait d'être racké peut entraîner des ecchymose puisque j'ai plusieurs petits bleus sur les cuisses et si ce n'est pas cela la cause, je me demande bien ce que j'ai bien pu faire pour avoir cela! Ça ne serait pas drôle que je commence déjà à ressembler à ma mère en me faisant des bleus un peu partout s'en m'en rendre compte !

mardi 5 octobre 2010

Le rap engagé

Ici au Québec, depuis que Loco Locass a sorti Libérez-nous des libéraux, on aime dire qu'on est un pays ou la liberté d'expression n'est pas près d'être attaqué puisqu'on parle contre le gouvernement au pouvoir. Et bien je suis heureux de voir que les français aussi aime bien chanter l'absurdité de leurs dirigeants! Cette chanson du groupe rap Chiens de Paille, directement de Nice, ne mâche pas ces mots! De plus, le clip est cool à regarder avec toutes ces baffe à chaque moi "con" et ces extraits de Sarko plus ou moins édifiante. Voici donc le clip que j'ai découvert grâce au deux album Tribute (1 et 2) que j'ai écouté pour la première fois hier.



Ces deux albums, "concept" dans le sens ou ce ne sont pas des CDs de Chien de Paille puisqu'il y a trop d'artiste invité (featuring comme les français disent) fait en sorte qu'on peut quand même profiter du flow à Sako et des productions de Hal! Sur le premier album, le morceau 18-12-97 est franchement bon. L'instru est la même que sur Sincèrement, chanson de l'album du même nom sorti un an plus tôt qui raconte comment le groupe c'est fait connaître d'Akhenaton, rappeur d'IAM qui a aidé beaucoup de groupe du sud de la France à percer. Sur le deuxième album, Pourquoi pas moi est le morceau qui m'a accroché dès sa première écoute grâce au refrain qui va comme suit :
Tout ce qui compte à la fin
Tout ce qu'il faut retenir
Peut importe d'où on vient
Peut importe ce qu'on peut dire
C'est que les rêves de gamin
Peuvent un jour aboutir
Ainsi que d'autre l'on fait
Pourquoi pas moi

Le clip n'a pas de lien mais ça vous permet de l'entendre au moins!