Car le royaume des cieux leur appartient.
Elle est ou la pilule bleue pour que je m'endorme enfin...
vendredi 29 mai 2009
mercredi 27 mai 2009
Surprise inattendue (2)
Première partie
C’est les mains encore huileuse que tu commenças à caresser ma verge. En guise de préambule tu pris ma verge de la main droite et la glissa tout le long de celle-ci afin d’y laisser de l’huile sur toute sa longueur afin que tes caresses soient plus fluide. Je déposai ma main sur ta cuisse et commença à te caresse mais, de la main gauche, tu m’empêchas de continuer en plaçant ma main de nouveau le long de mon corps. On dirait que mon inactivité accentuait mon excitation car je pouvais me concentrer sur les bienfaits de tes mains sur mon corps. Lorsque tu sentis que tes mouvements n’étaient plus freinés, tu plaças ton index et ton pouce de façon à former un cercle et tu y fis passer mon gland violacé et descendit jusqu’à la base de mon sexe en alternant chacune de tes mains. Cette caresse fit naître un frisson tout le long de mon corps suivit d’un grognement de plaisir. La pression était très faible mais on dirait que les nerfs à fleur de peau ressentaient le moindre effleurement.
Ta bouche s’approcha alors de mes testicules et tu les aspiras l’un après l’autre. Mon corps se cambra suite à cette nouvelle caresse intime ce qui t’insista à continuer dans la même veine. Lentement, ta langue remonta le long de ma tige et s’arrêta à la naissance du gland que tu entouras de ta langue gourmande avant de me prendre complètement en bouche. Alors que ta bouche s’évertua à garder mon sexe bien au chaud, ta main descendit vers mon périnée, zone hautement érogène s’il en est un.
Après quelques minutes, tu sentis que j’allais atteindre le point de non retour. Alors d’un mouvement brusque tu seras mon pénis fermement à sa base et, les yeux pétillants tu me dis qu’on ne faisait que commencer. Tu t’allongeas à mes côtés et on commença à s’embrasser avec passion et fougue. Je pouvais enfin toucher ton corps de mes mains alors que nos langues dansaient ensemble. Alors que la pression redescendait à un niveau acceptable tu te positionna au dessus de moi et entreprit d’enlever ton bustier tranquillement pendant que je te dévorai du regard. Une fois l’opération complété, je me redressai afin de t’embrasser à nouveau et le contact de tes seins contre mon torse brûlant te fit frémir. Tu me repoussas sur le lit et débuta un mouvement d’avant à arrière sur ma queue coincée entre mon ventre et ta culotte humide de plaisir. La proximité de mon gland avec ton sexe décupla mon excitation tant qu’à partir de ce moment, tout ce passa très rapidement. Avec rapidité mais délicatesse, je me retournai afin d’être par-dessus toi et t’enleva ce petit bout de tissu qui était la dernière barrière entre nos deux sexes gonflés d’excitation. Tu laissas échapper un petit cri de surprise mais lorsque tu vis que je t’avais pris dans mes bras et que j’étais sur le point de te pénétrer, tu retins ton souffle. Mon gland entra lentement dans cette cavité qui ne demandait qu’à être explorer plus en avant.
J’entrepris de te pistonner lentement mais longuement afin que tu puisses bien me sentir à l’intérieur te ton ventre. L’opération était d’une facilité déconcertante ; tu avais mouillée bien plus que ce que j’avais envisagé, ce qui facilité grandement le mouvement. J’étais littéralement couché sur toi, nos corps échangeant leur propre chaleur par le biais de notre sueur. Tu me susurrais, la voie haletante, de continuer. Tout à coup, je donnai un coup de hanche plus fort, plus brusque avant de reprendre le même rythme qu’auparavant pendant une dizaine de répétition. Je donnai ensuite deux coups brusques et tu ne pu t’empêcher de faire savoir ton contentement en grafignant mon dos de tes deux mains. Je continuai se petit manège jusqu’à donner dix coups brusques.
C’est à ce moment que tu me dis, après m’avoir encerclé de tes bras et de tes jambes, vas-y vient en moi ! Je veux sentir ta semence chaude me remplir. Au comble de l’excitation, j’ai perdu l’usage de la voix et c’est avec un grognement inaudible que j’ai repris mon va et vient. Je sentais la paroi de ton vagin se resserrer autour de mon phallus. Mes mouvements étaient de moins en moins coordonnés. Je t’embrassais dans le cou lorsque ma voix fut de retour le temps de te demander si tu aimais ça de me sentir au plus profond de ton con. Je n’eus comme réponse qu’une suite d’onomatopée et tu me mordillas l’épaule pour t’empêcher de crier. Mes hanches décrivaient maintenant un huit afin d’explorer de nouveau recoin de ton sexe en ébullition.
Essayant de repousser la jouissance le plus possible afin de profiter au maximum de cet instant magique, je dû me résoudre à baisser pavillon. C’est donc après une dernière charge que mon sexe lâcha toute sa semence en plusieurs puissants jets. Dès lors, je sentis ton sexe se contracter au maximum autour de ma queue qui frétillait de plaisir. Je sentis ton corps se crispé pendant quelque seconde avant de laisser tomber l’emprise que tu avais pris sur mon corps.
Après quelques minutes, quittai le confort de ton corps pour m’étendre sur le dos à tes côtés. Tu vins te placer au creux de mon épaule, nos deux corps exténuer par tant d’effort et encore tout en sueur.
Wow, ça, c’était quelque chose, lançais-je après un soupir de satisfaction.
Tu m’as souris avant de m’embrasser et de te retourner afin de t’endormir. Je me couchai en cuiller derrière toi et je m’endormis peu de temps après toi, un début d’érection venant frapper sur tes fesses.
C’est les mains encore huileuse que tu commenças à caresser ma verge. En guise de préambule tu pris ma verge de la main droite et la glissa tout le long de celle-ci afin d’y laisser de l’huile sur toute sa longueur afin que tes caresses soient plus fluide. Je déposai ma main sur ta cuisse et commença à te caresse mais, de la main gauche, tu m’empêchas de continuer en plaçant ma main de nouveau le long de mon corps. On dirait que mon inactivité accentuait mon excitation car je pouvais me concentrer sur les bienfaits de tes mains sur mon corps. Lorsque tu sentis que tes mouvements n’étaient plus freinés, tu plaças ton index et ton pouce de façon à former un cercle et tu y fis passer mon gland violacé et descendit jusqu’à la base de mon sexe en alternant chacune de tes mains. Cette caresse fit naître un frisson tout le long de mon corps suivit d’un grognement de plaisir. La pression était très faible mais on dirait que les nerfs à fleur de peau ressentaient le moindre effleurement.
Ta bouche s’approcha alors de mes testicules et tu les aspiras l’un après l’autre. Mon corps se cambra suite à cette nouvelle caresse intime ce qui t’insista à continuer dans la même veine. Lentement, ta langue remonta le long de ma tige et s’arrêta à la naissance du gland que tu entouras de ta langue gourmande avant de me prendre complètement en bouche. Alors que ta bouche s’évertua à garder mon sexe bien au chaud, ta main descendit vers mon périnée, zone hautement érogène s’il en est un.
Après quelques minutes, tu sentis que j’allais atteindre le point de non retour. Alors d’un mouvement brusque tu seras mon pénis fermement à sa base et, les yeux pétillants tu me dis qu’on ne faisait que commencer. Tu t’allongeas à mes côtés et on commença à s’embrasser avec passion et fougue. Je pouvais enfin toucher ton corps de mes mains alors que nos langues dansaient ensemble. Alors que la pression redescendait à un niveau acceptable tu te positionna au dessus de moi et entreprit d’enlever ton bustier tranquillement pendant que je te dévorai du regard. Une fois l’opération complété, je me redressai afin de t’embrasser à nouveau et le contact de tes seins contre mon torse brûlant te fit frémir. Tu me repoussas sur le lit et débuta un mouvement d’avant à arrière sur ma queue coincée entre mon ventre et ta culotte humide de plaisir. La proximité de mon gland avec ton sexe décupla mon excitation tant qu’à partir de ce moment, tout ce passa très rapidement. Avec rapidité mais délicatesse, je me retournai afin d’être par-dessus toi et t’enleva ce petit bout de tissu qui était la dernière barrière entre nos deux sexes gonflés d’excitation. Tu laissas échapper un petit cri de surprise mais lorsque tu vis que je t’avais pris dans mes bras et que j’étais sur le point de te pénétrer, tu retins ton souffle. Mon gland entra lentement dans cette cavité qui ne demandait qu’à être explorer plus en avant.
J’entrepris de te pistonner lentement mais longuement afin que tu puisses bien me sentir à l’intérieur te ton ventre. L’opération était d’une facilité déconcertante ; tu avais mouillée bien plus que ce que j’avais envisagé, ce qui facilité grandement le mouvement. J’étais littéralement couché sur toi, nos corps échangeant leur propre chaleur par le biais de notre sueur. Tu me susurrais, la voie haletante, de continuer. Tout à coup, je donnai un coup de hanche plus fort, plus brusque avant de reprendre le même rythme qu’auparavant pendant une dizaine de répétition. Je donnai ensuite deux coups brusques et tu ne pu t’empêcher de faire savoir ton contentement en grafignant mon dos de tes deux mains. Je continuai se petit manège jusqu’à donner dix coups brusques.
C’est à ce moment que tu me dis, après m’avoir encerclé de tes bras et de tes jambes, vas-y vient en moi ! Je veux sentir ta semence chaude me remplir. Au comble de l’excitation, j’ai perdu l’usage de la voix et c’est avec un grognement inaudible que j’ai repris mon va et vient. Je sentais la paroi de ton vagin se resserrer autour de mon phallus. Mes mouvements étaient de moins en moins coordonnés. Je t’embrassais dans le cou lorsque ma voix fut de retour le temps de te demander si tu aimais ça de me sentir au plus profond de ton con. Je n’eus comme réponse qu’une suite d’onomatopée et tu me mordillas l’épaule pour t’empêcher de crier. Mes hanches décrivaient maintenant un huit afin d’explorer de nouveau recoin de ton sexe en ébullition.
Essayant de repousser la jouissance le plus possible afin de profiter au maximum de cet instant magique, je dû me résoudre à baisser pavillon. C’est donc après une dernière charge que mon sexe lâcha toute sa semence en plusieurs puissants jets. Dès lors, je sentis ton sexe se contracter au maximum autour de ma queue qui frétillait de plaisir. Je sentis ton corps se crispé pendant quelque seconde avant de laisser tomber l’emprise que tu avais pris sur mon corps.
Après quelques minutes, quittai le confort de ton corps pour m’étendre sur le dos à tes côtés. Tu vins te placer au creux de mon épaule, nos deux corps exténuer par tant d’effort et encore tout en sueur.
Wow, ça, c’était quelque chose, lançais-je après un soupir de satisfaction.
Tu m’as souris avant de m’embrasser et de te retourner afin de t’endormir. Je me couchai en cuiller derrière toi et je m’endormis peu de temps après toi, un début d’érection venant frapper sur tes fesses.
L'âme soeur
Bon, tant qu'à vous écrire des histoires osées comme je le fais depuis une semaine et de continuer à dire des niaiseries une fois de temps en temps, autant vous avouez un truc qui vous fera peut-être rigoler un peu. Je lis la section Elle&Lui de la section Art de vivre du site de canoe.
Vous pouvez croire que c'est une section pas trop sérieuse du site, le genre de section qui laisse la place au sujet plus léger, sans importance. Je ne suis pas d'accord avec vous si vous croyez que tel est le cas. Il arrive souvent qu'il y a des textes du psychologue Yvon Dallaire. Plus tôt cette année, j'avais lu son livre guérir d'un chagrin d'amour qui m'avait aider à passer au travers d'une étape difficile. Aujourd'hui, il publie un texte sur l'âme sœur.
Plusieurs personnes disent être à la recherche de cette personne, je me souviens d'un chum voilà une couple d'année qui stressait pas mal avec ça en faisant des calculs "très" scientifique en partant du nombre de fille au Québec, en prenant seulement celle de son âge, ensuite un certain pourcentage serait de son goût et ensuite, il devait plaire à celle-ci! Il y a aussi, comme le texte le souligne, ceux(celles) qui change de partenaire en se disant que ce n'est pas le bon et qui ignore le problème en allant chercher l'âme soeur ailleurs.
Je dis qu'ils ignorent le problème puisque, selon ce psychologue, l'âme soeur n'existe tout simplement pas. Cet illusion serait créer par ce qu'il appel le vide existentiel :
Cette phrase est lourde de sens car elle fait le pont avec le choc amoureux que j'avais lu en février 2008. Ce livre illustrait, entre autre chose, la différence entre la passion et l'amour, celui dont les passionnés cherche sans jamais y arriver puisqu'il ne différencie pas la passion(âme soeur) de l'amour(accepté l'autre tel qu'il est et l'aimer pour cela).
Allez donc prendre 2 minutes pour lire l'article et peut-être en discuter en commentaires. Oui j'aurai pu (dû) trouver mieux comme conclusion pour un texte qui n'a ni queue ni tête...
Vous pouvez croire que c'est une section pas trop sérieuse du site, le genre de section qui laisse la place au sujet plus léger, sans importance. Je ne suis pas d'accord avec vous si vous croyez que tel est le cas. Il arrive souvent qu'il y a des textes du psychologue Yvon Dallaire. Plus tôt cette année, j'avais lu son livre guérir d'un chagrin d'amour qui m'avait aider à passer au travers d'une étape difficile. Aujourd'hui, il publie un texte sur l'âme sœur.
Plusieurs personnes disent être à la recherche de cette personne, je me souviens d'un chum voilà une couple d'année qui stressait pas mal avec ça en faisant des calculs "très" scientifique en partant du nombre de fille au Québec, en prenant seulement celle de son âge, ensuite un certain pourcentage serait de son goût et ensuite, il devait plaire à celle-ci! Il y a aussi, comme le texte le souligne, ceux(celles) qui change de partenaire en se disant que ce n'est pas le bon et qui ignore le problème en allant chercher l'âme soeur ailleurs.
Je dis qu'ils ignorent le problème puisque, selon ce psychologue, l'âme soeur n'existe tout simplement pas. Cet illusion serait créer par ce qu'il appel le vide existentiel :
C’est ce vide qui nous pousse vers l’autre, mais ce vide ne peut jamais être comblé, n’en déplaise aux passionnés.
Cette phrase est lourde de sens car elle fait le pont avec le choc amoureux que j'avais lu en février 2008. Ce livre illustrait, entre autre chose, la différence entre la passion et l'amour, celui dont les passionnés cherche sans jamais y arriver puisqu'il ne différencie pas la passion(âme soeur) de l'amour(accepté l'autre tel qu'il est et l'aimer pour cela).
Allez donc prendre 2 minutes pour lire l'article et peut-être en discuter en commentaires. Oui j'aurai pu (dû) trouver mieux comme conclusion pour un texte qui n'a ni queue ni tête...
mardi 26 mai 2009
Surprise inattendue
Les premiers rayons de soleil commençaient à faire leur entré dans la chambre. Habituellement, j’arrive à dormir malgré la lumière qui entre dans ma chambre mais ce matin, on dirait que je me suis éveillé dès que la chambre s’éclaircit. J’en ai profité pour fermer le cadran et de me lever sans faire de bruit pour ne pas te réveiller en direction de la douche. Je n’aime pas prendre une douche le matin puisque pour moi, la douche est source de détente et je n’aime pas la sensation de l’eau qui me réveille pour de bon. Mais avec la nuit que nous venons de passer, je ne peux pas sortir de chez moi sans faire ma toilette. Un petit sourire se profila sur mon visage encore endormi en repensant à tout cela.
Tu m’avais fais une surprise en arrivant à l’improviste alors que je te croyais endormi chez toi. Tu es entré sans faire de bruit et c’est seulement en entrant dans ma chambre alors que je lisais un peu avant de dormir que j’ai eu conscience de ta présence. Tu t’étais organisée pour que la surprise soit totale car tu avais mis cet ensemble si aguichant. Ton bustier noir était simple mais il t’allait comme un gant en ramenant tes seins l’un vers l’autre et en accentuant la courbe de tes hanches. Ta petite culotte mettait en valeur tes fesses rebondies et cachait juste assez de ta peau pour que mon imagination s’affole. J’ai eu de la difficulté à avaler la boule de poil qui venait d’apparaître comme par magie dans le fond de ma gorge et le reste de mon visage devait traduire le même état de surprise puisque ton grand sourire illumina ton visage avant de me dire.
Alors mon chou, tu as toujours mal au dos ? Laisse-moi voir cela de plus prêt !
Je n’ai même pas eu le temps de dire ou de faire quoi que ce soit que tu étais déjà à mes côtés à me faire signe de me retourner sur le ventre en allumant la chandelle que je laisse toujours sur la table de nuit. Je m’exécutai pendant que tu appliquais l’huile à massage dans tes mains et tu commenças à me masser le dos afin de détendre ces muscles endoloris. Après quelques minutes de tes bons soins, ma respiration commença à être plus profonde et mon dos répondait mieux à tes pressions. J’avais presque oublié l’excitation que j’avais éprouvée en te voyant entrer lorsque tes mains commencèrent à malaxer mes fesses. Tes mains descendirent tranquillement vers mes cuisses que tu traitas avec la même attention que le reste de mon corps. Je ne sais pas si tes caresses avaient changées ou si c’est simplement mon esprit qui me jouait des tours mais j’avais de plus en plus de difficulté à contrôler mon excitation. Tes mains baladeuse remontait de plus en plus vers mon entrejambes et tu allais presqu’effleurer mes testicules du bout de tes doigts. J’avais envie d’écarter mes jambes pour te facilités l’accès à mon sexe mais une partie de moi me disait de ne rien faire et de te laisser le contrôle, du moins pour l’instant.
Allez chéri, retourne-toi que je te masse les pieds maintenant.
Ta voix sensuelle me ramener sur terre et je m’exécutai, espérant que tu ne t’éternise pas trop sur cette partie du corps afin que je ne perde pas cet élan que tu venais de me donner.
Mes peurs furent tout ce qu’il y a de plus infondés puisque tu me donner le massage de pied le plus sensuel qu’il m’ait jamais été donné ! En plus, comme je suis maintenant sur le dos, je peux maintenant en profiter pour regarder ton corps autant que je le désire à la lueur dansante de la chandelle. Tu commenças à masser mes pieds et de la façon dont tu étais placé, j’était dans l’angle parfait afin de contempler tes seins qui se dressait fièrement dans ton bustier qui semblait maintenant trop petit pour ces seins gorgés de plaisir. Tu te penchas au niveau de mes pieds et c’est avec un regard langoureux que tu commenças à sucer chacun de mes orteils. Ce simple regard eu l’effet d’un coup de canon au niveau de mon pénis et il se dressa comme tel en une fraction de seconde. Après quelques minutes qui parurent des heures de pur plaisir tu recommenças le même manège avec mon autre pied. Cette fois-ci je remarquai que tes hanches suivait le rythme de tes caresses, puisque rendu la, je ne peux plus appeler cela un massage. Tu remontas tranquillement en massant à nouveau mes cuisses et c’est à ce moment que j’ai remarqué que tu avais maintenant de plus en plus de difficulté à quitter mon sexe du regard. Tu devais être de plus en plus excitée toi aussi par ce supplice que tu étais en train de me faire subir. J’imaginais ta culotte imbibée de cyprine et à cette simple pensée, il me sembla reconnaître ton odeur dans mes narines. Nos regards ce sont croisés et pendant quelques secondes, tes caresses ont cessées ou c’est le temps qui c’est arrêté, je n’en sais rien mais j’y ai vu toute l’envie que tu me portais et un grand sourire éclaira mon visage suivit d’une nouvelle secousse d’excitation qui fit trembler mon membre durcit qui manquait d’air sous ce boxer maintenant beaucoup trop serrer. Tu devais avoir lu dans ma tête parce que tu t’exclamas :
Ho chéri ! Mais c’est que tu es à l’étroit ci-dessous ! Laisse-moi t’aider à te mettre à l’aise.
Tu enlevas mon boxer et tu laissas échapper dans un soupir d’envie et tes yeux avides fixés sur mon sexe bien droit, tout content d’être à l’air libre et d’avoir enfin un peu d’attention :
Bon, que les choses sérieuse commence maintenant !
Tu m’avais fais une surprise en arrivant à l’improviste alors que je te croyais endormi chez toi. Tu es entré sans faire de bruit et c’est seulement en entrant dans ma chambre alors que je lisais un peu avant de dormir que j’ai eu conscience de ta présence. Tu t’étais organisée pour que la surprise soit totale car tu avais mis cet ensemble si aguichant. Ton bustier noir était simple mais il t’allait comme un gant en ramenant tes seins l’un vers l’autre et en accentuant la courbe de tes hanches. Ta petite culotte mettait en valeur tes fesses rebondies et cachait juste assez de ta peau pour que mon imagination s’affole. J’ai eu de la difficulté à avaler la boule de poil qui venait d’apparaître comme par magie dans le fond de ma gorge et le reste de mon visage devait traduire le même état de surprise puisque ton grand sourire illumina ton visage avant de me dire.
Alors mon chou, tu as toujours mal au dos ? Laisse-moi voir cela de plus prêt !
Je n’ai même pas eu le temps de dire ou de faire quoi que ce soit que tu étais déjà à mes côtés à me faire signe de me retourner sur le ventre en allumant la chandelle que je laisse toujours sur la table de nuit. Je m’exécutai pendant que tu appliquais l’huile à massage dans tes mains et tu commenças à me masser le dos afin de détendre ces muscles endoloris. Après quelques minutes de tes bons soins, ma respiration commença à être plus profonde et mon dos répondait mieux à tes pressions. J’avais presque oublié l’excitation que j’avais éprouvée en te voyant entrer lorsque tes mains commencèrent à malaxer mes fesses. Tes mains descendirent tranquillement vers mes cuisses que tu traitas avec la même attention que le reste de mon corps. Je ne sais pas si tes caresses avaient changées ou si c’est simplement mon esprit qui me jouait des tours mais j’avais de plus en plus de difficulté à contrôler mon excitation. Tes mains baladeuse remontait de plus en plus vers mon entrejambes et tu allais presqu’effleurer mes testicules du bout de tes doigts. J’avais envie d’écarter mes jambes pour te facilités l’accès à mon sexe mais une partie de moi me disait de ne rien faire et de te laisser le contrôle, du moins pour l’instant.
Allez chéri, retourne-toi que je te masse les pieds maintenant.
Ta voix sensuelle me ramener sur terre et je m’exécutai, espérant que tu ne t’éternise pas trop sur cette partie du corps afin que je ne perde pas cet élan que tu venais de me donner.
Mes peurs furent tout ce qu’il y a de plus infondés puisque tu me donner le massage de pied le plus sensuel qu’il m’ait jamais été donné ! En plus, comme je suis maintenant sur le dos, je peux maintenant en profiter pour regarder ton corps autant que je le désire à la lueur dansante de la chandelle. Tu commenças à masser mes pieds et de la façon dont tu étais placé, j’était dans l’angle parfait afin de contempler tes seins qui se dressait fièrement dans ton bustier qui semblait maintenant trop petit pour ces seins gorgés de plaisir. Tu te penchas au niveau de mes pieds et c’est avec un regard langoureux que tu commenças à sucer chacun de mes orteils. Ce simple regard eu l’effet d’un coup de canon au niveau de mon pénis et il se dressa comme tel en une fraction de seconde. Après quelques minutes qui parurent des heures de pur plaisir tu recommenças le même manège avec mon autre pied. Cette fois-ci je remarquai que tes hanches suivait le rythme de tes caresses, puisque rendu la, je ne peux plus appeler cela un massage. Tu remontas tranquillement en massant à nouveau mes cuisses et c’est à ce moment que j’ai remarqué que tu avais maintenant de plus en plus de difficulté à quitter mon sexe du regard. Tu devais être de plus en plus excitée toi aussi par ce supplice que tu étais en train de me faire subir. J’imaginais ta culotte imbibée de cyprine et à cette simple pensée, il me sembla reconnaître ton odeur dans mes narines. Nos regards ce sont croisés et pendant quelques secondes, tes caresses ont cessées ou c’est le temps qui c’est arrêté, je n’en sais rien mais j’y ai vu toute l’envie que tu me portais et un grand sourire éclaira mon visage suivit d’une nouvelle secousse d’excitation qui fit trembler mon membre durcit qui manquait d’air sous ce boxer maintenant beaucoup trop serrer. Tu devais avoir lu dans ma tête parce que tu t’exclamas :
Ho chéri ! Mais c’est que tu es à l’étroit ci-dessous ! Laisse-moi t’aider à te mettre à l’aise.
Tu enlevas mon boxer et tu laissas échapper dans un soupir d’envie et tes yeux avides fixés sur mon sexe bien droit, tout content d’être à l’air libre et d’avoir enfin un peu d’attention :
Bon, que les choses sérieuse commence maintenant !
Fausse impression
Y'a un gars qui travaille sur la porte magnétique à côté de mon bureau ce matin. Je ne sais pas ce qu'il a à faire mais il a fermé notre porte puisqu'il fait du bruit. Le problème, c'est qu'on entend quand même le bruit même s'il est moins fort. Le bruit est un savant mélange de drill de dentiste et la cri d'une jeune fille qui a vraiment peur.
C'est fou comme ça travaille bien!
C'est fou comme ça travaille bien!
lundi 25 mai 2009
Le repos du guerrier
Fin de semaine sportive avec un tournoi de frisbee de dernière minute. Fin de semaine pas facile alors que la majorité des gens ne se connaissait pas et que la chimie à pris plusieurs partie avant d'être au rendez-vous. Ça nous a quand même permit de faire du sport, de se remettre dans le bain à jouer sur de grand terrain mais malheureusement, cela ne m'a pas permis de me reposer!
Ce matin, j'étais dû pour une grâce matinée mais on est déjà lundi donc pas question de ce lever trop tard. Pourtant hier, j'avais réussi à faire tout ce dont j'avais prévu de faire pour remettre l'appartement dans un ordre décent et j'avais même réussi à me coucher tôt un peu après 21h00. Malheureusement, je ne me suis pas endormi avant 12h30 pour toute sorte de raison, la principale étant la chaleur et probablement la fatigue (oui, oui!) pas loin derrière.
Ça vous fait ça aussi vous de ne pas dormir quand vous êtes fatigué?
Demain, je vais devoir me contrôler lorsque j'irai acheter le nouveau CD de la rue kétanou pour ne pas acheter trop de CD. Déjà, le dernier de Jean Leloup me tente beaucoup.
Faudra que je sois sage cette semaine, j'ai une grosse fin de semaine qui approche avec le déménagement d'un ami. 5 contre 1 que je ne tiens pas parole !
Ce matin, j'étais dû pour une grâce matinée mais on est déjà lundi donc pas question de ce lever trop tard. Pourtant hier, j'avais réussi à faire tout ce dont j'avais prévu de faire pour remettre l'appartement dans un ordre décent et j'avais même réussi à me coucher tôt un peu après 21h00. Malheureusement, je ne me suis pas endormi avant 12h30 pour toute sorte de raison, la principale étant la chaleur et probablement la fatigue (oui, oui!) pas loin derrière.
Ça vous fait ça aussi vous de ne pas dormir quand vous êtes fatigué?
Demain, je vais devoir me contrôler lorsque j'irai acheter le nouveau CD de la rue kétanou pour ne pas acheter trop de CD. Déjà, le dernier de Jean Leloup me tente beaucoup.
Faudra que je sois sage cette semaine, j'ai une grosse fin de semaine qui approche avec le déménagement d'un ami. 5 contre 1 que je ne tiens pas parole !
vendredi 22 mai 2009
Jean-Marc Chaput
Je suis allé voir son spectacle hier au Grand Théâtre. C'est Mart qui m'a invité puisqu'elle avait un billet de disponible. Je ne savais pas pantoute à quoi m'attendre mais en fin de compte j'ai trouvé ça cool comme soirée.
Même si je n'ai pas trop accroché sur son style d'humour, il a dit des trucs quand même simple et criant de vérité. Pour ceux qui, comme moi voilà une semaine, ne connaissait pas cet homme, c'est un genre de motivateur/positivisme. Il base son spectacle sur la poursuite des rêves et de chercher à les atteindre. Ça peut-être l'air simple dit comme cela (et ça l'est) mais c'est le genre de truc qu'on ne se fait pas assez dire et surtout qu'on ne se dit pas assez.
Je me suis rendu compte que je faisais parti de son public cible l'an passé alors que j'attendais sans cesse. J'attendais de voir si ma job pouvais me rendre plus heureux, j'attendais qu'une fille me saute dessus.
Depuis, j'ai pris des dispositions afin d'aller au devant des choses. J'ai consulté, je me suis entraîné en gymnase, j'ai été voir un orienteur, je me suis réinscrit à l'université et j'ai même eu une copine pendant une couple de mois. Ça m'a permet de réalisé à quel point chaque petites actions qui paraissaient insignifiante à l'époque est devenu le moteur de ce changement qui c'est opéré en moi depuis plusieurs mois.
J'ai retenu quelques mots clés que j'ai déjà glissé dans mon texte mais en voici d'autre qu'il faut absolument retenir. La poursuite d'un rêve est ce qui a de plus important dans la vie. Sans rêve, on attend et c'est la qu'on s'écarte de la bonne voie! Afin de nous aider à poursuivre ce rêve, il est primordiale d'avoir une bonne image de soi et d'avoir confiance en soi. C'est souvent la que les gens bloque, du moins, c'est souvent à cause de cela que j'ai abandonné dans la vie. C'est à ce moment qu'il faut se donner plusieurs petits objectif et de s'encourager à chaque fois qu'on en réussit un et de ce relevé les manches à chaque fois qu'on échoue!
Enfin, toutes personnes désirant avoir une bonne image / confiance en soi afin de poursuivre ces rêves doit posséder trois qualités importante :
-L'audace : Si on ne fait rien sans danger, on risque pas grand chose mais on ne risque pas de gagner grand chose non plus.
-La communication (l'écoute aussi) : Toutes personnes ayant des difficultés de communications risquent d'avoir plus de difficulté qu'un autre à avancer dans ces projets.
-La compétence : Cela peut paraître le bout difficile mais cela n'est pas le cas. Ce qui est bien avec la compétence c'est qu'elle s'acquiert avec la pratique et qu'avec un peu de bonne volonté, tout le monde peut se pratiquer assez longtemps afin d'acquérir les compétences nécessaire dans la poursuite de son but.
Même si je n'ai pas trop accroché sur son style d'humour, il a dit des trucs quand même simple et criant de vérité. Pour ceux qui, comme moi voilà une semaine, ne connaissait pas cet homme, c'est un genre de motivateur/positivisme. Il base son spectacle sur la poursuite des rêves et de chercher à les atteindre. Ça peut-être l'air simple dit comme cela (et ça l'est) mais c'est le genre de truc qu'on ne se fait pas assez dire et surtout qu'on ne se dit pas assez.
Je me suis rendu compte que je faisais parti de son public cible l'an passé alors que j'attendais sans cesse. J'attendais de voir si ma job pouvais me rendre plus heureux, j'attendais qu'une fille me saute dessus.
Depuis, j'ai pris des dispositions afin d'aller au devant des choses. J'ai consulté, je me suis entraîné en gymnase, j'ai été voir un orienteur, je me suis réinscrit à l'université et j'ai même eu une copine pendant une couple de mois. Ça m'a permet de réalisé à quel point chaque petites actions qui paraissaient insignifiante à l'époque est devenu le moteur de ce changement qui c'est opéré en moi depuis plusieurs mois.
J'ai retenu quelques mots clés que j'ai déjà glissé dans mon texte mais en voici d'autre qu'il faut absolument retenir. La poursuite d'un rêve est ce qui a de plus important dans la vie. Sans rêve, on attend et c'est la qu'on s'écarte de la bonne voie! Afin de nous aider à poursuivre ce rêve, il est primordiale d'avoir une bonne image de soi et d'avoir confiance en soi. C'est souvent la que les gens bloque, du moins, c'est souvent à cause de cela que j'ai abandonné dans la vie. C'est à ce moment qu'il faut se donner plusieurs petits objectif et de s'encourager à chaque fois qu'on en réussit un et de ce relevé les manches à chaque fois qu'on échoue!
Enfin, toutes personnes désirant avoir une bonne image / confiance en soi afin de poursuivre ces rêves doit posséder trois qualités importante :
-L'audace : Si on ne fait rien sans danger, on risque pas grand chose mais on ne risque pas de gagner grand chose non plus.
-La communication (l'écoute aussi) : Toutes personnes ayant des difficultés de communications risquent d'avoir plus de difficulté qu'un autre à avancer dans ces projets.
-La compétence : Cela peut paraître le bout difficile mais cela n'est pas le cas. Ce qui est bien avec la compétence c'est qu'elle s'acquiert avec la pratique et qu'avec un peu de bonne volonté, tout le monde peut se pratiquer assez longtemps afin d'acquérir les compétences nécessaire dans la poursuite de son but.
Dr. Jekill and Mr. Hyde
Y'a John The Wolf qui commence à gratter les accords de Dr. Jekill and Mr. Hyde sur mon ordinateur. C'est con mais cette chanson m'allume simplement à cause du couplet, si tu viens d'asseoir sur mon visage / je te ferai passer de bon moment.
Je te chuchote ces vers à l'oreille et tu me regarde avec un gros point d'interrogation en plein milieu du visage. Je te fais un sourire plein de promesse et tu quitte le confort des couvertures pour te mettre à califourchon sur moi et j'ai bien l'intention de ne pas te le faire regretter!
Je commence par embrasser ton sexe afin que tu t'habitue à ma présence. Tu frémis un peu suite à ce contact intime pendant que je te caresse les fesses. Ma main droite descend entre celles-ci et revient vers l'avant. Je passe doucement mon index entre tes grandes lèvres simplement pour faire mon agace et je prend bien soin de contourner ton bouton de plaisir, il faut y aller étape par étape et j'adore faire monter tranquillement ton plaisir avec mes mains et ma bouche...
Tu me passe une main dans les cheveux et tu me remonte la tête vers ton sexe, qui a dit que les femmes aimaient ça lorsqu'on y allait doucement? Je te liche comme un enfant liche une crème glacée beaucoup trop grosse pour lui. Je parcours l'ensemble de ta vulve en commençant par appliquer une forte pression et en la relâchant progressivement pour qu'elle ne soit qu'une caresse à peine perceptible sur ton clitoris. Si tu étais encore un peu endormi lorsque je t'ai fait cette proposition, ce n'est vraiment plus le cas et tu balance ton bassin d'avant à arrière afin d'accentuer l'effet de mes caresses. Tu mouille de plus en plus. Ça sent et ça goûte bon! J'écarte tranquillement tes lèvres afin d'avoir un accès plus direct sur ce petit monticule que j'ai expressément négligé afin d'y porter une attention particulière dès maintenant.
Dès les premiers contact de ma langue sur celui-ci, tu te cambre afin de me démontrer ta satisfaction. Je continue doucement mes caresses tantôt en faisant de petits cercle autour, tantôt en le suçant. De ma main libre je commence à titiller l'entrée de ta grotte d'amour. J'y insère un puis deux doigts qui sont littéralement aspirer à l'intérieur tellement ton excitation est élevée.
Tu bouge le bassin de plus en plus rapidement en laissant échapper quelques gémissement qui confirme les bons soins que je te procure. Il m'est de plus en plus difficile de concentrer mes caresses sur ton clitoris à cause de ton déhanchement. J'en profite donc pour te mordre la cuisse gentiment tout en accentuant la pression sans toutefois te faire mal. La stratégie semble fonctionner puisque tu ralentis un peu la cadence.
C'est à ce moment que je décide d'y mettre toute la gomme, langue, souffle, doigts, je met tout en oeuvre pour te faire voir le plus d'étoiles possible, ton corps est parcouru de spasme, tes cuisses et ton sexe sont humide, au bord de l'inondation. Tu t'accroche à ma tête et au mur pendant que j'entre ma langue à l'intérieur de toi et que je la fais tourner le plus profondément possible. Ta respiration est rapide et saccadée et sans avertissement, tu sers les cuisses très fort sur mon visage. Je n'entend plus que ta respiration comme si ma tête était plonger dans l'eau. Tout ton corps c'est raidi en une fraction de seconde et un long frisson parcours ton corps de ton bassin jusqu'à ta tête, je réussi à libérer une main et la passer sur ton dos le long de ta colonne vertébrale au creux de tes reins et je remarque que tu as la chair de poule tout en étant en sueur! Après quelques instants, je retrouve l'usage normal de l'ouïe lorsque tu relâche ton étreinte et que tu t'affaisse à mes côté, le souffle court, un sourire niais sur ton visage aussi beau qu'un lever de soleil.
Je te prend gentiment dans mes bras et je te dis "bon matin, chérie" doucement à l'oreille.
Je te chuchote ces vers à l'oreille et tu me regarde avec un gros point d'interrogation en plein milieu du visage. Je te fais un sourire plein de promesse et tu quitte le confort des couvertures pour te mettre à califourchon sur moi et j'ai bien l'intention de ne pas te le faire regretter!
Je commence par embrasser ton sexe afin que tu t'habitue à ma présence. Tu frémis un peu suite à ce contact intime pendant que je te caresse les fesses. Ma main droite descend entre celles-ci et revient vers l'avant. Je passe doucement mon index entre tes grandes lèvres simplement pour faire mon agace et je prend bien soin de contourner ton bouton de plaisir, il faut y aller étape par étape et j'adore faire monter tranquillement ton plaisir avec mes mains et ma bouche...
Tu me passe une main dans les cheveux et tu me remonte la tête vers ton sexe, qui a dit que les femmes aimaient ça lorsqu'on y allait doucement? Je te liche comme un enfant liche une crème glacée beaucoup trop grosse pour lui. Je parcours l'ensemble de ta vulve en commençant par appliquer une forte pression et en la relâchant progressivement pour qu'elle ne soit qu'une caresse à peine perceptible sur ton clitoris. Si tu étais encore un peu endormi lorsque je t'ai fait cette proposition, ce n'est vraiment plus le cas et tu balance ton bassin d'avant à arrière afin d'accentuer l'effet de mes caresses. Tu mouille de plus en plus. Ça sent et ça goûte bon! J'écarte tranquillement tes lèvres afin d'avoir un accès plus direct sur ce petit monticule que j'ai expressément négligé afin d'y porter une attention particulière dès maintenant.
Dès les premiers contact de ma langue sur celui-ci, tu te cambre afin de me démontrer ta satisfaction. Je continue doucement mes caresses tantôt en faisant de petits cercle autour, tantôt en le suçant. De ma main libre je commence à titiller l'entrée de ta grotte d'amour. J'y insère un puis deux doigts qui sont littéralement aspirer à l'intérieur tellement ton excitation est élevée.
Tu bouge le bassin de plus en plus rapidement en laissant échapper quelques gémissement qui confirme les bons soins que je te procure. Il m'est de plus en plus difficile de concentrer mes caresses sur ton clitoris à cause de ton déhanchement. J'en profite donc pour te mordre la cuisse gentiment tout en accentuant la pression sans toutefois te faire mal. La stratégie semble fonctionner puisque tu ralentis un peu la cadence.
C'est à ce moment que je décide d'y mettre toute la gomme, langue, souffle, doigts, je met tout en oeuvre pour te faire voir le plus d'étoiles possible, ton corps est parcouru de spasme, tes cuisses et ton sexe sont humide, au bord de l'inondation. Tu t'accroche à ma tête et au mur pendant que j'entre ma langue à l'intérieur de toi et que je la fais tourner le plus profondément possible. Ta respiration est rapide et saccadée et sans avertissement, tu sers les cuisses très fort sur mon visage. Je n'entend plus que ta respiration comme si ma tête était plonger dans l'eau. Tout ton corps c'est raidi en une fraction de seconde et un long frisson parcours ton corps de ton bassin jusqu'à ta tête, je réussi à libérer une main et la passer sur ton dos le long de ta colonne vertébrale au creux de tes reins et je remarque que tu as la chair de poule tout en étant en sueur! Après quelques instants, je retrouve l'usage normal de l'ouïe lorsque tu relâche ton étreinte et que tu t'affaisse à mes côté, le souffle court, un sourire niais sur ton visage aussi beau qu'un lever de soleil.
Je te prend gentiment dans mes bras et je te dis "bon matin, chérie" doucement à l'oreille.
J'ai mon macaron!
Il reste maximum 3 000 macarons dans la vieille capitale, c'est ce qu'on annonce à la radio. Moi, j'ai demandé à une femme de la job de m'en acheter deux à Ste-Marie, il y a ben moins de monde la bas!
jeudi 21 mai 2009
Ma fameuse non-barbe
Bon, je vais commencer à penser que j'ai un nouveau sex-appeal la. Ce midi, une femme qui travaille au même endroit que moi, c'est retourné pour me dire que ça m'allait bien ma nouvelle tête. Je trouvais qu'elle en mettait pas mal de la façon qu'elle m'avait dit cela, un peu gênée, un peu ébloui.
Dans ma tête, je me suis dis. Ben oui, dites-moi le donc en pleine face que j'étais pas beau avant!
Après le dîner, une femme avec qui je travaille me demande si une Catherine m'a parlé hier. Je ne connais pas de fille avec ce nom à la job donc je dis non et lui demande de me la décrire. En tant que femme qui se respecte, elle commence à me compter son histoire. C'est la femme qui juste en face. (À partir de la, je sais que c'est celle qui m'a croisé avant le dîner mais comme elle ne m'a pas parlé hier, je la laisse continuer son histoire). Hier en sortant des toilettes, je la croise et elle me dit : Hey tu sais le grand en informatique avec les cheveux rasé, il était pas barbu avant? C'est que ça lui fait tellement bien, je me demande si on peut lui dire...
Ça y est, c'est confirmé, je pogne auprès des femmes plus âgées. Quand je dis plus âgées, c'est mettons 10-15 ans plus vieille que moi, pas des mémés quand même !
Dans ma tête, je me suis dis. Ben oui, dites-moi le donc en pleine face que j'étais pas beau avant!
Après le dîner, une femme avec qui je travaille me demande si une Catherine m'a parlé hier. Je ne connais pas de fille avec ce nom à la job donc je dis non et lui demande de me la décrire. En tant que femme qui se respecte, elle commence à me compter son histoire. C'est la femme qui juste en face. (À partir de la, je sais que c'est celle qui m'a croisé avant le dîner mais comme elle ne m'a pas parlé hier, je la laisse continuer son histoire). Hier en sortant des toilettes, je la croise et elle me dit : Hey tu sais le grand en informatique avec les cheveux rasé, il était pas barbu avant? C'est que ça lui fait tellement bien, je me demande si on peut lui dire...
Ça y est, c'est confirmé, je pogne auprès des femmes plus âgées. Quand je dis plus âgées, c'est mettons 10-15 ans plus vieille que moi, pas des mémés quand même !
Ok, ça c'est louche!
C'est pas la première fois que je vous en parle, de mon lecteur mp3. Mais il vient de se produire un truc assez rare. Sur le mode aléatoire comprenant 3436 chansons, Deux chansons se sont suivis!
Je ne sais pas quel est l'algorithme du lecteur pour calculer la prochaine chanson mais en bout de ligne ça l'a fait le (numéro de la chanson + 1).
J'ai vérifié plusieurs fois et le mode est bel et bien à aléatoire. Dans 10 secondes, la deuxième chanson va finir...
Ok, ce n'est pas la suivante, je suis quasiment content, mon lecteur n'est pas posséder!
Je ne sais pas quel est l'algorithme du lecteur pour calculer la prochaine chanson mais en bout de ligne ça l'a fait le (numéro de la chanson + 1).
J'ai vérifié plusieurs fois et le mode est bel et bien à aléatoire. Dans 10 secondes, la deuxième chanson va finir...
Ok, ce n'est pas la suivante, je suis quasiment content, mon lecteur n'est pas posséder!
Mon horaire FEQ 2009
9 juillet
Jeff Beck
- Scène Molson Dry - 21:45 - Gratuit
10 juillet
Omnikrom
- Impérial de Québec - 21:20 - Laissez-passer
Loreena McKennitt
- Scène Bell - 22:00 - 5 $ à la porte + laissez-passer
11 juillet
Daniel Bélanger
- Scène Molson Dry - 21:45 - Gratuit
13 juillet
Bell Orchestre
- Impérial de Québec - 20:00 - Laissez-passer
Beirut
- Impérial de Québec - 21:25 - Laissez-passer
14 juillet
Pépé goes français
- Scène Bell - 20:30 - Gratuit
15 juillet
Plants and Animals
- Scène Molson Dry - 20:50 - Gratuit
Patrick Watson
- Scène Molson Dry - 22:00 - Gratuit
16 juillet
The Spleen
- Impérial de Québec - 20:00 - Laissez-passer
Metric
- Impérial de Québec - 21:00 - Laissez-passer
19 juillet
Malajube
- Scène Bell - 19:00 - 10 $ à la porte ou laissez-passer
Karkwa
- Scène Bell - 20:30 - 10 $ à la porte ou laissez-passer
Pierre Lapointe
- Scène Bell - 22:00 - 10 $ à la porte ou laissez-passer
Il y a le show de Loreena McKennitt qui sera peut-être remplacé par celui d'Omnikrom à cause que cela coûte 5$ de plus pour son spectacle et que je ne veux pas que ça devienne une habitude.
Sinon, belle programmation encore une fois!
Il y a le show de Loreena McKennitt qui sera peut-être remplacé par celui d'Omnikrom à cause que cela coûte 5$ de plus pour son spectacle et que je ne veux pas que ça devienne une habitude.
Sinon, belle programmation encore une fois!
1900 macarons vendus en moins de 2h30!
Les macarons du FEQ étaient en vente ce matin à 8h00. Je l'ai su un peu par hasard quand j'ai vu un contact facebook dire qu'elle passerait la semaine à Québec pendant le festival. Vers 10h30 je me rend au Métro à côté de la job, ils n'en n'ont plus! 1900 macarons de vendus en moins de 2h30! J'espère qu'il va en rester près de chez moi parce que j'ai comme l'impression que ça s'en vient ridicule la vente des macarons. Pas que ce soit trop cher mais cela fait au moins 2 ans qu'il manque de macaron dès la première journée de la vente!
Je vous aurai bien mis mon horaire du festival par la même occasion mais une fois que j'ai terminé de choisir mes spectacles, je n'ai pas été capable de visualiser la liste de ceux-ci, probablement qu'il faut que l'on soit inscrit à leur site et cela va permettre à Bell de vendre nos adresses de courriel encore une fois...
Je vous aurai bien mis mon horaire du festival par la même occasion mais une fois que j'ai terminé de choisir mes spectacles, je n'ai pas été capable de visualiser la liste de ceux-ci, probablement qu'il faut que l'on soit inscrit à leur site et cela va permettre à Bell de vendre nos adresses de courriel encore une fois...
mercredi 20 mai 2009
La chaleur
Bon, je me lance. Ce n'est pas à cause que j'ai bu de la bière ce soir que j'écris ce genre de texte. En fait, ça fait plus d'une heure que j'ai fini ma dernière bière et cela fait quelques temps déjà que je songe à écrire des histoires, disons coquine. La principale raison qui m'empêchait de le faire, c'était la gêne. Alors mettons les choses au clair tout de suite. Ce sont des histoires et rien de cela ne m'est arrivé. Si vous êtes un gars et qu'on se voit, SVP ne me parlez pas de ces messages, cela risque de me mettre mal à l'aise!
---
Il faisait chaud en ce soir de juillet. Le genre de soir ou tout le linge que l'on porte décide de ce coller à soi et de retenir encore plus la chaleur qui se dégage de son corps. Évidement, mon air climatisé à décidé de rendre l'âme la semaine précédente et je n'avais pas encore eu le temps, ou je n'avais pas encore pris le temps d'aller en acheter une autre. Il faisait donc très chaud dans mon appartement et tout ce que j'avais pour me rafraîchir, c'était de la bière ou de l'eau. Boire de l'eau un mardi soir avant de se coucher, c'est bien mais un vendredi soir alors que la soirée est encore jeune, c'est un peu déplacé.
Je zap la télé dans l'espoir d'avoir des images assez divertissante pour m'y arrêter le temps de songer à ce que je pourrai faire. Mon cellulaire sonne et je te répond d'une manière un peu endormi. C'est que cette chaleur pèse vraiment et que tout est comme au ralentit.
Après quelques minutes de conversation, on convient de se rejoindre au club vidéo pour se louer un film. C'est rendu une sorte de nom de code car on sait très bien tout les deux qu'on ne verra pas la fin du film.
De retour à l'appart, tu prend conscience de la mise en garde que je t'ai fait quelques minutes plus tôt à propos de la température mais tu te dis que c'est toujours moins pire que chez toi dans ce bloc appartement en ville. Ça te donne une bonne raison pour en enlever une couche et ce n'est pas moi qui va s'en plaindre! On part donc le film dont je ne me souviens évidement plus du titre. T'es en camisole rouge. Le genre de camisole toujours en solde à 10$ pour deux car on doit nécessairement porter autre chose avec ça si on ne veut pas avoir l'air trop provocatrice. T'as enlever ta jupe pour laisser l'air glisser sur tes jambes bronzées. Elles sont en sueur et le reflet de la lumière produite par la télévision sur celle-ci est très agréable.
Ça ne fait pas 10 minutes que le film est commencé qu'on décide d'adopter une position différente sur le divan, plus horizontale puisque la chaleur, toujours celle-là nous pèse et nous empêche de se tenir droit. On s'allonge donc sur se sofa et je me place derrière toi afin de ne pas te cacher la télévision. En fait, c'est simplement une défaite pour te prendre dans mes bras et sentir ton parfum en déposant ma tête sur ton épaule afin de regarder le film.
Je ne pensais pas que cela pouvait être possible mais le taux d'humidité augmente encore dans la pièce tant que nos corps sont comme collé l'un à l'autre. La sueur, dit-on, est un système de refroidissement du corps. À ce moment, j'ai de la misère à y croire.
C'est à ce moment que tu décide de te replacer un peu sur le divan et tes fesses s'appuie quelques instant sur mon corps. La réaction est immédiate comme si c'était un signal de départ tant attendu et tu sens une érection. Ça te fait sourire de me voir réagir aussi rapidement à chaque fois. Tu commence à onduler les hanches en sachant très bien que c'est la pire des tortures que tu peux me faire endurer. J'émets un petit son de satisfaction et je t'embrasse dans le cou près de l'oreille, pas mal le seul endroit que je peux atteindre de ma bouche sans bouger le reste de mon corps qui serait dont ben triste de quitter cet endroit privilégier!
Tu relève la tête afin de m'offrir ton cou. Pour l'instant, je joue le jeu et je couvre ton cou de petit bec sec pendant que ma seule main de libre, l'autre étant sous toi, caresse ton vendre. Ce qui est bien avec le ventre c'est que c'est la porte d'entrée vers deux endroits névralgiques de ton corps. Pour l'instant, je le caresse seulement du bout des doigts pour te faire languir un peu et faire durer le plaisir.
Tout à coup, d'un geste brusque, tu plaque tes fesses sur mon sexe et tu tourne le visage pour m'embrasser passionnément. J'ai un peu mal suite à ce mouvement puisque je suis de plus en plus à l'étroit ici bas mais je m'en fou un peu, ce qui suit risque de me faire oublier cette petite douleur bien assez vite. On s'embrasse toujours alors que ma main n'arrive pas à ce décider si elle va vers le haut ou le bas. Finalement, je décide d'y aller avec la seconde option malgré le fait que ce soit peut être un peu tôt. Je m'en fou car j'aime ça voir à quel point tu es excitée. Je passe tranquillement ma main sur ta cuisse gauche et je remonte en passant mon index sur ta petite culotte. Il n'y a pas de doute, il n'y a pas que moi qui est excité! Tu lâche un mffff en m'embrassant et en serrant les cuisses sur ma main mais elle est déjà parti explorer une autre partie de ton corps maintenant que j'ai eu ce que je voulais.
Comme pour me montrer qu'il n'est pas trop tôt, tu glisse ta main dans mon pantalon de sport et tu m'empoigne brutalement. Faut dire que notre position n'aide pas au mouvement doux et tendre, on pourrait quasiment s'engager dans un cirque en tant que contorsionniste! Le contact de ta main sur mon sexe me fait perdre le nord. Alors que je caressais le reste de ton corps, j'ai baissé ta culotte d'un habille mouvement de poignet jusqu'à tes genoux et je t'ai pris comme cela sans avertissement. Tu arrête de m'embrasser afin de lâcher un gémissement de satisfaction. La chaleur dans l'appartement atteint un point de non retour, non corps sont maintenant en fusion.
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Il faisait chaud en ce soir de juillet. Le genre de soir ou tout le linge que l'on porte décide de ce coller à soi et de retenir encore plus la chaleur qui se dégage de son corps. Évidement, mon air climatisé à décidé de rendre l'âme la semaine précédente et je n'avais pas encore eu le temps, ou je n'avais pas encore pris le temps d'aller en acheter une autre. Il faisait donc très chaud dans mon appartement et tout ce que j'avais pour me rafraîchir, c'était de la bière ou de l'eau. Boire de l'eau un mardi soir avant de se coucher, c'est bien mais un vendredi soir alors que la soirée est encore jeune, c'est un peu déplacé.
Je zap la télé dans l'espoir d'avoir des images assez divertissante pour m'y arrêter le temps de songer à ce que je pourrai faire. Mon cellulaire sonne et je te répond d'une manière un peu endormi. C'est que cette chaleur pèse vraiment et que tout est comme au ralentit.
Après quelques minutes de conversation, on convient de se rejoindre au club vidéo pour se louer un film. C'est rendu une sorte de nom de code car on sait très bien tout les deux qu'on ne verra pas la fin du film.
De retour à l'appart, tu prend conscience de la mise en garde que je t'ai fait quelques minutes plus tôt à propos de la température mais tu te dis que c'est toujours moins pire que chez toi dans ce bloc appartement en ville. Ça te donne une bonne raison pour en enlever une couche et ce n'est pas moi qui va s'en plaindre! On part donc le film dont je ne me souviens évidement plus du titre. T'es en camisole rouge. Le genre de camisole toujours en solde à 10$ pour deux car on doit nécessairement porter autre chose avec ça si on ne veut pas avoir l'air trop provocatrice. T'as enlever ta jupe pour laisser l'air glisser sur tes jambes bronzées. Elles sont en sueur et le reflet de la lumière produite par la télévision sur celle-ci est très agréable.
Ça ne fait pas 10 minutes que le film est commencé qu'on décide d'adopter une position différente sur le divan, plus horizontale puisque la chaleur, toujours celle-là nous pèse et nous empêche de se tenir droit. On s'allonge donc sur se sofa et je me place derrière toi afin de ne pas te cacher la télévision. En fait, c'est simplement une défaite pour te prendre dans mes bras et sentir ton parfum en déposant ma tête sur ton épaule afin de regarder le film.
Je ne pensais pas que cela pouvait être possible mais le taux d'humidité augmente encore dans la pièce tant que nos corps sont comme collé l'un à l'autre. La sueur, dit-on, est un système de refroidissement du corps. À ce moment, j'ai de la misère à y croire.
C'est à ce moment que tu décide de te replacer un peu sur le divan et tes fesses s'appuie quelques instant sur mon corps. La réaction est immédiate comme si c'était un signal de départ tant attendu et tu sens une érection. Ça te fait sourire de me voir réagir aussi rapidement à chaque fois. Tu commence à onduler les hanches en sachant très bien que c'est la pire des tortures que tu peux me faire endurer. J'émets un petit son de satisfaction et je t'embrasse dans le cou près de l'oreille, pas mal le seul endroit que je peux atteindre de ma bouche sans bouger le reste de mon corps qui serait dont ben triste de quitter cet endroit privilégier!
Tu relève la tête afin de m'offrir ton cou. Pour l'instant, je joue le jeu et je couvre ton cou de petit bec sec pendant que ma seule main de libre, l'autre étant sous toi, caresse ton vendre. Ce qui est bien avec le ventre c'est que c'est la porte d'entrée vers deux endroits névralgiques de ton corps. Pour l'instant, je le caresse seulement du bout des doigts pour te faire languir un peu et faire durer le plaisir.
Tout à coup, d'un geste brusque, tu plaque tes fesses sur mon sexe et tu tourne le visage pour m'embrasser passionnément. J'ai un peu mal suite à ce mouvement puisque je suis de plus en plus à l'étroit ici bas mais je m'en fou un peu, ce qui suit risque de me faire oublier cette petite douleur bien assez vite. On s'embrasse toujours alors que ma main n'arrive pas à ce décider si elle va vers le haut ou le bas. Finalement, je décide d'y aller avec la seconde option malgré le fait que ce soit peut être un peu tôt. Je m'en fou car j'aime ça voir à quel point tu es excitée. Je passe tranquillement ma main sur ta cuisse gauche et je remonte en passant mon index sur ta petite culotte. Il n'y a pas de doute, il n'y a pas que moi qui est excité! Tu lâche un mffff en m'embrassant et en serrant les cuisses sur ma main mais elle est déjà parti explorer une autre partie de ton corps maintenant que j'ai eu ce que je voulais.
Comme pour me montrer qu'il n'est pas trop tôt, tu glisse ta main dans mon pantalon de sport et tu m'empoigne brutalement. Faut dire que notre position n'aide pas au mouvement doux et tendre, on pourrait quasiment s'engager dans un cirque en tant que contorsionniste! Le contact de ta main sur mon sexe me fait perdre le nord. Alors que je caressais le reste de ton corps, j'ai baissé ta culotte d'un habille mouvement de poignet jusqu'à tes genoux et je t'ai pris comme cela sans avertissement. Tu arrête de m'embrasser afin de lâcher un gémissement de satisfaction. La chaleur dans l'appartement atteint un point de non retour, non corps sont maintenant en fusion.
Mercredi, ma musique, mes bières et mon blog.
Bon, j'en suis à ma 3e bière pis j'aimerais bien écrire le genre de trucs qui me passe par la tête quand je suis à l'horizontal. Je ne sais pas pour vous, mais on dirait que c'est toujours plus brillant ce que ma tête me dit quand je suis couché que le reste de la journée. C'est souvent la que je règle ben des problèmes ou que j'en créer, c'est selon. Le problème, c'est que 99.9% du temps, j'ai tout oublié le lendemain! À croire que je suis toujours saoul raide quand je me couche...
Bon, je viens de me servir ma 4e bière, c'est ce que ça fait quand on chat avec des gens cool! Ça fait drôle de passer la soirée devant l'ordinateur. Habituellement, je suis tellement tanné d'être devant un écran que le truc qui se rapproche le plus de ça et que je fais chez moi c'est d'écouter la TV ou de jouer au XBOX. Mais ce soir, je lis, j'écris, j'écoute de la musique et je bois de la bière le tout au chandelle pour voir si ça me met pas dans un mood quelconque...
Donc voilà, comme je l'ai déjà dit dans un autre texte je vais essayer de mettre en mot ce que je recherche des fois que ça aiderai à l'avoir.
Le premier truc c'est la présence. Ça l'air con mais plus on vieillit moins on a tendance à garder contact aussi souvent avec nos amis alors le fait d'avoir une blonde permet d'avoir quelqu'un avec qui jaser. Cette personne est nécessairement intéressante et intéressé ce qui fait que c'est toujours le fun. Vient ensuite ce que, je croyais était le plus important avant. Dormir à deux. Sérieux, on se sent fort et important quand quelqu'un s'endort paisiblement au creux de notre épaule.
C'est un peu con ce que je viens d'écrire on dirait plus que j'écris ce qu'il me manque que ce que j'ai envie...
J'ai envie de tendresse, de moment intime qui reste gravé longtemps en mémoire pis qui te fou un sourire cave dans face. J'ai envie d'avoir quelqu'un avec qui partager mes trip et qui va tripper autant que moi juste à cause qu'elle voit que je trip. Je veux être la même chose pour elle, voir la joie dans ces yeux quand elle parle ou fait un truc en particulier et me sentir choyer d'en être le témoin. J'ai envie de faire comme dans l'annonce de char et de cocher des trucs du genre : s'embrasser sous la pluie. J'ai envie de faire du camping dans deux sacs de couchage zipper ensemble. J'ai envie de découvrir de nouveaux trucs qu'elle me ferait découvrir!
Bon je commence à être dans un bon mood on dirait la. Merci Beirut et les cinq minutes de calme sur msn!
J'ai envie de me laisser aller sans me poser de question. Pas comme un cave mais comme un gars qui sait que c'est comme ça que c'est supposé marcher pis être serein la dedans. J'ai pas envie de me coucher avec 56 000 questions en tête parce que c'est jamais bon signe quand je me pose 56 000 questions.
J'ai envie de faire l'amour longtemps. Pas juste une longue fois. Plusieurs fois. Je veux en être fatigué, exténué. Le genre de journée ou il pleut et que tu t'en fou parce que de toute façon, tu ne regarde pas dehors, trop occupé à la regarder. Manger au lit parce que je ne suis pas habillé et que ça me donne froid. Bref, skipper une journée à faire l'amour.
Quatrième bière fini, il est temps que je passe à autre chose avant de me mettre à écrire n'importe quoi!
Bon, je viens de me servir ma 4e bière, c'est ce que ça fait quand on chat avec des gens cool! Ça fait drôle de passer la soirée devant l'ordinateur. Habituellement, je suis tellement tanné d'être devant un écran que le truc qui se rapproche le plus de ça et que je fais chez moi c'est d'écouter la TV ou de jouer au XBOX. Mais ce soir, je lis, j'écris, j'écoute de la musique et je bois de la bière le tout au chandelle pour voir si ça me met pas dans un mood quelconque...
Donc voilà, comme je l'ai déjà dit dans un autre texte je vais essayer de mettre en mot ce que je recherche des fois que ça aiderai à l'avoir.
Le premier truc c'est la présence. Ça l'air con mais plus on vieillit moins on a tendance à garder contact aussi souvent avec nos amis alors le fait d'avoir une blonde permet d'avoir quelqu'un avec qui jaser. Cette personne est nécessairement intéressante et intéressé ce qui fait que c'est toujours le fun. Vient ensuite ce que, je croyais était le plus important avant. Dormir à deux. Sérieux, on se sent fort et important quand quelqu'un s'endort paisiblement au creux de notre épaule.
C'est un peu con ce que je viens d'écrire on dirait plus que j'écris ce qu'il me manque que ce que j'ai envie...
J'ai envie de tendresse, de moment intime qui reste gravé longtemps en mémoire pis qui te fou un sourire cave dans face. J'ai envie d'avoir quelqu'un avec qui partager mes trip et qui va tripper autant que moi juste à cause qu'elle voit que je trip. Je veux être la même chose pour elle, voir la joie dans ces yeux quand elle parle ou fait un truc en particulier et me sentir choyer d'en être le témoin. J'ai envie de faire comme dans l'annonce de char et de cocher des trucs du genre : s'embrasser sous la pluie. J'ai envie de faire du camping dans deux sacs de couchage zipper ensemble. J'ai envie de découvrir de nouveaux trucs qu'elle me ferait découvrir!
Bon je commence à être dans un bon mood on dirait la. Merci Beirut et les cinq minutes de calme sur msn!
J'ai envie de me laisser aller sans me poser de question. Pas comme un cave mais comme un gars qui sait que c'est comme ça que c'est supposé marcher pis être serein la dedans. J'ai pas envie de me coucher avec 56 000 questions en tête parce que c'est jamais bon signe quand je me pose 56 000 questions.
J'ai envie de faire l'amour longtemps. Pas juste une longue fois. Plusieurs fois. Je veux en être fatigué, exténué. Le genre de journée ou il pleut et que tu t'en fou parce que de toute façon, tu ne regarde pas dehors, trop occupé à la regarder. Manger au lit parce que je ne suis pas habillé et que ça me donne froid. Bref, skipper une journée à faire l'amour.
Quatrième bière fini, il est temps que je passe à autre chose avant de me mettre à écrire n'importe quoi!
Changement de programme
Habituellement, les mercredis, c'est mon soir d'ultimate sur la rive sud. J'ai décidé de ne pas allé au deux dernières parties de l'année puisque j'en ai ral le bol d'avoir un air de cul le reste de la semaine. J'ai beau faire des efforts, rien n'y fait, je sors toujours de la en criss.
Donc cette semaine, le plan était d'aller m'entraîner au lieu de faire du ultimate.
Pendant la journée, j'ai eu un éclair de génie. Je me suis acheté une caisse de 12 ou je vais la boire en lisant des blogs, en écrivant sur le mien et en écoutant du bon beat! Je vais peut-être réussir à faire une couple de bon texte si je réussi à écrire tout ce qui passe dans ma tête.
Merci Boréal d'avoir mis la blanche en spécial !
Donc cette semaine, le plan était d'aller m'entraîner au lieu de faire du ultimate.
Pendant la journée, j'ai eu un éclair de génie. Je me suis acheté une caisse de 12 ou je vais la boire en lisant des blogs, en écrivant sur le mien et en écoutant du bon beat! Je vais peut-être réussir à faire une couple de bon texte si je réussi à écrire tout ce qui passe dans ma tête.
Merci Boréal d'avoir mis la blanche en spécial !
Découverte
Hier, c'était le retour au boulot après une fin de semaine de trois jours. J'étais crevé, j'étais seul dans mon bureau et je suis tombé sur ce nouveau blogue : LedZ. Je n'ai pas encore tout lu (un peu plus de 200 textes) mais à date c'est vraiment bien. Il fait passé ces lecteurs par toutes les gammes d'émotion et il y a des textes qui s'étalent sur plus d'un message. Le seul truc que je pourrai lui reprocher pour l'instant, c'est que c'est difficile parfois de s'y retrouver dans ces différents personnages. C'est peut-être aussi de ma faute car j'ai commencé à lire de la fin pour me donner une idée. Mais j'ai l'impression qu'il y a des noms de personnes qui sont donné à plus d'un personnage ou bien c'est simplement qu'on a pas toujours le même point de vue.
Tout ça pour dire qu'il est cool à lire et qu'il a écrit un texte "J'ai envie d'être amoureux" qui énumère ce qu'il veut et ne veut pas. Ça fait deux, trois jours que j'ai cette idée dans un coin de ma tête et ça m'a donné le goût de le faire encore plus. On dit que ça aide de savoir ce qu'on veut et ce qu'on veut moins.
Peut-être d'ici la fin de semaine j'aurai fait un peu d'ordre dans ce début d'idée...
Tout ça pour dire qu'il est cool à lire et qu'il a écrit un texte "J'ai envie d'être amoureux" qui énumère ce qu'il veut et ne veut pas. Ça fait deux, trois jours que j'ai cette idée dans un coin de ma tête et ça m'a donné le goût de le faire encore plus. On dit que ça aide de savoir ce qu'on veut et ce qu'on veut moins.
Peut-être d'ici la fin de semaine j'aurai fait un peu d'ordre dans ce début d'idée...
Y'a de ces moments dans la vie
C'est fou comme la vie est banale des fois. Tantôt, en entrant dans la salle de bain à la job, il y a une vieille madame qui en ressortait toute surprise de voir un homme entrer la ou elle sortait. Je devais avoir sensiblement la même expression mais à l'envers (voir une femme sortir et non un homme entrer, bref vous voyez le topo).
Quelques minutes plus tard, une fois sorti de la salle de bain, je trouvais dont ben que c'était une belle journée. Il ne fait pas vraiment beau, il fait froid, je suis au travail mais il y a quelque chose qui fait que je suis bien. Pourquoi mon corps n'est pas assez brillant pour faire en sorte que c'est toujours comme ça? J'en ai aucune idée mais je vais y penser un autre tantôt.
Quelques minutes plus tard, une fois sorti de la salle de bain, je trouvais dont ben que c'était une belle journée. Il ne fait pas vraiment beau, il fait froid, je suis au travail mais il y a quelque chose qui fait que je suis bien. Pourquoi mon corps n'est pas assez brillant pour faire en sorte que c'est toujours comme ça? J'en ai aucune idée mais je vais y penser un autre tantôt.
mardi 19 mai 2009
Une chance qu'on avait congé!
Fin de semaine éprouvante! Premièrement, j'ai taillé ma barbe mais pas exactement comme je pensais. Au départ, je voulais avoir des favoris et garder ma moustache, un peu comme Bill le boucher dans Gangs of New-York mais en fin de compte, j'ai seulement rasé l'équivalent de mon menton et le résultat était tout de même cool. Enfin, cool pour avoir une face de gars de 1880 environ on s'entend!
Donc, je me suis rasé hier après midi et depuis, plusieurs personnes ne m'ont pas reconnu sans ma barbe! Ce qui est drôle, c'est qu'on dirait que les gens se sentent obligé, comme dans le cas d'une coupe de cheveux, de dire que cela nous va bien.
Sinon ben comme le titre l'indique, la fin de semaine n'a pas été de tout repos. Vendredi et samedi, je me suis couché alors que le soleil commençait à se lever et je me suis lever vers les 11h00 ce qui fait que je n'ai pas eu de longue nuit et que celles-ci n'étaient pas très reposante puisque je dormais dans une tente, sur un matelas de sol qui est probablement sur ces derniers milles puisqu'il dégonfle rapidement dès que je me couche sur celui-ci.
Samedi, j'ai été contrait de faire le poteau durant au moins 1h30 sous la pluie et seul dans le bois. Mes deux highlight de la soirée ont été la chute d'un arbre plus loin dans le bois, probablement dû à une trop grande quantité d'eau sur celui-ci. Peu après, j'ai été témoin d'un autre phénomène météorologique particulier. Pendant près de deux minutes, une pluie très forte c'est abattu à environ deux mètres de moi alors qu'il ne faisait que brumassé sur ma capuche détrempé.
Dimanche soir, j'ai eu la brillante idée de me coucher tôt afin de ne pas me lever trop tard lundi matin. J'étais donc au pays des rêves à 1h30. Malheureusement, je me suis levé alors qu'il était plus de 11h30! J'ai donc du courir un peu pendant la journée afin de faire tout ce dont j'avais à faire mais au moins j'ai pu rattraper un peu de ce sommeil qui m'a tellement fait défaut pendant la fin de semaine!
Donc, je me suis rasé hier après midi et depuis, plusieurs personnes ne m'ont pas reconnu sans ma barbe! Ce qui est drôle, c'est qu'on dirait que les gens se sentent obligé, comme dans le cas d'une coupe de cheveux, de dire que cela nous va bien.
Sinon ben comme le titre l'indique, la fin de semaine n'a pas été de tout repos. Vendredi et samedi, je me suis couché alors que le soleil commençait à se lever et je me suis lever vers les 11h00 ce qui fait que je n'ai pas eu de longue nuit et que celles-ci n'étaient pas très reposante puisque je dormais dans une tente, sur un matelas de sol qui est probablement sur ces derniers milles puisqu'il dégonfle rapidement dès que je me couche sur celui-ci.
Samedi, j'ai été contrait de faire le poteau durant au moins 1h30 sous la pluie et seul dans le bois. Mes deux highlight de la soirée ont été la chute d'un arbre plus loin dans le bois, probablement dû à une trop grande quantité d'eau sur celui-ci. Peu après, j'ai été témoin d'un autre phénomène météorologique particulier. Pendant près de deux minutes, une pluie très forte c'est abattu à environ deux mètres de moi alors qu'il ne faisait que brumassé sur ma capuche détrempé.
Dimanche soir, j'ai eu la brillante idée de me coucher tôt afin de ne pas me lever trop tard lundi matin. J'étais donc au pays des rêves à 1h30. Malheureusement, je me suis levé alors qu'il était plus de 11h30! J'ai donc du courir un peu pendant la journée afin de faire tout ce dont j'avais à faire mais au moins j'ai pu rattraper un peu de ce sommeil qui m'a tellement fait défaut pendant la fin de semaine!
vendredi 15 mai 2009
Drôle d'envie
Hier, alors que j'étais étendu de tout mon long sur mon lit et que je me forçais à dormir dans une position ergonomique afin d'amenuiser mon mal de dos, j'ai eu envie de faire du vélo avec toi. Quand je t'ai connu cet hiver je me suis dis que ça serait bien, l'été arrivé, de faire plein d'activité dehors. Il me semble que ça fait longtemps que je ne suis pas allé aux chutes, tellement que je me demande si j'arriverai à y aller sans peine comme autrefois.
Alors je vais peut-être avoir le courage de t'appeler lundi pour une ride de vélo en duo.
Alors je vais peut-être avoir le courage de t'appeler lundi pour une ride de vélo en duo.
Fin de semaine de trois jours
Bah ouais, on a congé lundi! Tiens donc, c'est cool ça parce que je vais avoir une grosse fin de semaine à me coucher à des heures pas possible. De plus, je suis en pleine réflexion. Cette fin de semaine, ça serait vraiment cool que j'aille les couilles de raser ma barbe pour ne garde que mes favoris, qui sont vraiment longs et ma moustache, que je pourrai modeler les bouts pour qu'ils retroussent vers le haut comme ces anglais du début du siècle dernier.
Il y a deux problèmes qui m'empêche de le faire sans peur. Premièrement, je l'aimes ma barbe. Je la fais pousser depuis le temps des fêtes et elle est franchement cool bien qu'un peu trop longue selon ma mère mais je peux remédier à cela en la taillant et ce très facilement. Ensuite, ben le soleil est déjà sorti une fois ou deux cette année et moi j'en ai fais de même alors j'ai peur que ma peau sous mes poils ne soit plus de la même couleur que le reste de mon visage (et de mon crâne par extension).
Entk, lundi si vous me voyez sans barbe ou avec une barbe de trois jours, vous saurez ce qui c'est passé et me demanderez si j'ai des photos prouvant ma folie.
Il y a deux problèmes qui m'empêche de le faire sans peur. Premièrement, je l'aimes ma barbe. Je la fais pousser depuis le temps des fêtes et elle est franchement cool bien qu'un peu trop longue selon ma mère mais je peux remédier à cela en la taillant et ce très facilement. Ensuite, ben le soleil est déjà sorti une fois ou deux cette année et moi j'en ai fais de même alors j'ai peur que ma peau sous mes poils ne soit plus de la même couleur que le reste de mon visage (et de mon crâne par extension).
Entk, lundi si vous me voyez sans barbe ou avec une barbe de trois jours, vous saurez ce qui c'est passé et me demanderez si j'ai des photos prouvant ma folie.
jeudi 14 mai 2009
Ben Tabarnak!
Les Bruins ont perdu en prolongation contre les Hurricanes.
Je suis déchirer entre la joie de voir les Bruins perdent et la déception de voir les Hurricanes gagner !
Je suis déchirer entre la joie de voir les Bruins perdent et la déception de voir les Hurricanes gagner !
Une autre journée qui se lève
On ne retrouvera jamais l'émerveillement
Que l'on avait enfants
Tout se complique lorsque l'on devient grands
Mais il ne faudrait pas non plus s'en faire accroire
Et vivre sans espoir
La vie n'est pas juste un long purgatoire
S'il est vrai qu'il faut se battre au quotidien
Il n'en sera pas vain
L'effort sait faire apprécier le bon vin
À quoi bon s'en faire et nous apitoyer
On va tous y passer
Tant qu'à être là vaut mieux en profiter
Je cherchais un titre pour ce billet alors que le plus simple était de garder le titre de la chanson dans laquelle les paroles sont tirées. À lire et relire ces temps-ci.
Ouin ben
J'ai pas une minute à moi depuis mardi matin. Ma semaine est réglé au quart de tour. Semaine plate, mois plate, prions pour ne pas que ça se termine en été plate.
mardi 12 mai 2009
Pas besoin de me le dire
Avis à ceux qui en ont l'habitude : J'ai recommencé à soupirer, pas besoin de me le dire.
Sais pas si c'est comme avant mais si c'est le cas, je vous comprend d'avoir trouvé ça gossant pendant toutes ces années, je me tape moi-même sur les nerfs!
Sais pas si c'est comme avant mais si c'est le cas, je vous comprend d'avoir trouvé ça gossant pendant toutes ces années, je me tape moi-même sur les nerfs!
Ce qui s'en vient dans les bacs!
Deux annonces aujourd'hui pour ceux qui ne suivent peut-être pas l'actualité musicale autant que moi (sans prétention).
Premièrement, La rue kétanou fera la promotion de son nouvel album À contresens mardi le 2 juin au petit champlain. Cette merveilleuse salle fera de ce concert un moment très spécial à mon avis. L'album sort le mardi précédent, soit le 26 mai. C'est un peu court afin de connaître les chansons avant d'aller les entendre live mais on ne chialera pas d'avoir la visite de ce groupe français si rapidement!
Une semaine après le spectacle de La rue kétanou, Dumas sort son 3e album concept qu'il a enregistrer en collaboration avec Louis Legault. Dans l'article de la Presse, on affirme que ce sera le dernier album qu'il sortira dans la ligné de Nord et Rouge mais il me semble qu'au début, on parlait de quatre CDs. M'enfin, l'important c'est de retenir la date du 9 juin pour la sortie du CD!
Voilà pour les sorties CDs des prochaines semaines!
Premièrement, La rue kétanou fera la promotion de son nouvel album À contresens mardi le 2 juin au petit champlain. Cette merveilleuse salle fera de ce concert un moment très spécial à mon avis. L'album sort le mardi précédent, soit le 26 mai. C'est un peu court afin de connaître les chansons avant d'aller les entendre live mais on ne chialera pas d'avoir la visite de ce groupe français si rapidement!
Une semaine après le spectacle de La rue kétanou, Dumas sort son 3e album concept qu'il a enregistrer en collaboration avec Louis Legault. Dans l'article de la Presse, on affirme que ce sera le dernier album qu'il sortira dans la ligné de Nord et Rouge mais il me semble qu'au début, on parlait de quatre CDs. M'enfin, l'important c'est de retenir la date du 9 juin pour la sortie du CD!
Voilà pour les sorties CDs des prochaines semaines!
lundi 11 mai 2009
Fin de semaine d'anniversaire
Les moins perspicace auront remarqué que j'ai un an de plus depuis jeudi passé. Les plus perspicace auront remarqué que je suis de nouveau célibataire depuis le jeudi d'avant. J'avais donc plus ou moins la tête à la fête lorsque vendredi soir est arrivé. Tellement que j'ai pratiquement rien fait pour me trouver un plan de soirée et qu'en fin de compte, je me suis retrouvé à aider un couple d'ami à peinturer leur nouvelle maison!
J'avais peur d'être de mauvaise humeur samedi, c'est pourquoi je n'avais pas trop le goût de fêter. En plus, il annonçait de la pluie samedi depuis des jours. En fin de compte quand je me suis réveillé, il faisait beau, ça m'a mit de bonne humeur. On est allé sur les plaines. Sur les plaines, le ciel était nuageux mais il faisait assez chaud pour être en court et en plus il n'avait pas de vent donc on a pu tirer le frisbee en masse.
À un certain moment, nous étions plus de 20 personnes et la majorité ne connaissait pas tout le monde puisqu'ils provenaient de différente gang de chum. J'espère que tout le monde c'est fait un minimum de fun et je suis un peu déçu de ne pas avoir pu m'occuper de tout le monde autant que j'en avais envie. Mais j'avais tellement envie de courir que je n'arrivais pas à rester sur place. Moi entk je suis content d'avoir vu tout ce beau monde et ma tête n'a pas été remplit de pensée triste comme je le craignais. Vers 18h00, tout le monde était parti sauf quatre personnes et nous sommes donc rentré pour souper. L'après midi de plein air, de sport et de bière c'est transformé en soirée de vin, de fromage et de jeux de société!
Merci encore à ceux qui ont été présent!
J'avais peur d'être de mauvaise humeur samedi, c'est pourquoi je n'avais pas trop le goût de fêter. En plus, il annonçait de la pluie samedi depuis des jours. En fin de compte quand je me suis réveillé, il faisait beau, ça m'a mit de bonne humeur. On est allé sur les plaines. Sur les plaines, le ciel était nuageux mais il faisait assez chaud pour être en court et en plus il n'avait pas de vent donc on a pu tirer le frisbee en masse.
À un certain moment, nous étions plus de 20 personnes et la majorité ne connaissait pas tout le monde puisqu'ils provenaient de différente gang de chum. J'espère que tout le monde c'est fait un minimum de fun et je suis un peu déçu de ne pas avoir pu m'occuper de tout le monde autant que j'en avais envie. Mais j'avais tellement envie de courir que je n'arrivais pas à rester sur place. Moi entk je suis content d'avoir vu tout ce beau monde et ma tête n'a pas été remplit de pensée triste comme je le craignais. Vers 18h00, tout le monde était parti sauf quatre personnes et nous sommes donc rentré pour souper. L'après midi de plein air, de sport et de bière c'est transformé en soirée de vin, de fromage et de jeux de société!
Merci encore à ceux qui ont été présent!
Rêve weird
Ce matin, j'ai rêvé à un mélange de Harry Potter et Matrix avec des gens que je connais mais qui ne se connais pas entre-eux et qui font des trucs qu'ils ne feraient jamais en réalité.
C'est peut-être pour ça que je feel un peu tout croche ce matin, ou pas...
C'est peut-être pour ça que je feel un peu tout croche ce matin, ou pas...
jeudi 7 mai 2009
Relativisons
Aujourd'hui, ça fait 64 ans que la deuxième guerre mondial est terminé.
Aujourd'hui, un certain Piotr Ilitch Tchaïkovski aurait 169 ans. Il est le compositeur de l'ouverture 1812 qui souligne la victoire russe contre Napoléon.
Aujourd'hui, j'ai 28 ans. Ça vous remet un anniversaire en perspective.
Fait cocasse, hier, j'ai lu le dernier tome de Pavel. L'an dernier à pareil date, je clanchais douce-moitier du même auteur.
Ouverture 1812 partie 1
Ouverture 1812 partie 2
Aujourd'hui, un certain Piotr Ilitch Tchaïkovski aurait 169 ans. Il est le compositeur de l'ouverture 1812 qui souligne la victoire russe contre Napoléon.
Aujourd'hui, j'ai 28 ans. Ça vous remet un anniversaire en perspective.
Fait cocasse, hier, j'ai lu le dernier tome de Pavel. L'an dernier à pareil date, je clanchais douce-moitier du même auteur.
Ouverture 1812 partie 1
Ouverture 1812 partie 2
mardi 5 mai 2009
Il n'est pas gêné!
Ce matin, un gars qui était en train de faire un #2 a probablement été surpris d'entendre son cellulaire sonner. Je m'attendais à ce qu'il ne réponde pas mais il a répondu et à fait comme rien n'était! Ça devait être important en maudit pour faire ça!
À la poursuite de Gollum
Je l'ai écouté hier, et vous pouvez en faire de même sur cette page.
Sans être un grand film, c'est assez impressionnant ce que des fans peuvent faire sans le moindre budget! Étant donné que c'est un film indépendant, personnage n'a touché le moindre salaire pour ce projet.
Le tout dure 35 minutes alors il n'y a pas trop de temps mort!
Sans être un grand film, c'est assez impressionnant ce que des fans peuvent faire sans le moindre budget! Étant donné que c'est un film indépendant, personnage n'a touché le moindre salaire pour ce projet.
Le tout dure 35 minutes alors il n'y a pas trop de temps mort!
lundi 4 mai 2009
Suggestion d'ami de facebook
Depuis la nouvelle version de facebook. Il n'y a plus que des amis qui nous sont suggérer dans la rubrique Suggestion. Il y a aussi les pages "fan de" et évidement, il y a de plus en plus de connerie comme Le soleil, dormir à deux ou encore l'été. Mais ce que j'ai remarqué depuis peu, c'est que j'ai un rush de suggestion d'ami du secondaire et le deux tiers des filles ont un bébé sur leur photo.
Je plains tellement l'autre tiers de fille qui doivent tellement capoter à voir ça!
Je plains tellement l'autre tiers de fille qui doivent tellement capoter à voir ça!
Dernier match des abeilles gelées 2009!
Dimanche le 3 mai, nous avions rendez vous avec les Haies de Ced, la seule autre équipe à ne pas avoir perdu de match en série. Ils avaient battu deux équipes qui ont la possibilité de nous battre (Motrin C et Cobra Kai) et ce, par plus de 10 points alors le match s'annonçait plus qu'intéressant!
Le match c'est déroulé en plusieurs temps car on s'échangeait souvent plusieurs points par séquence, les deux équipes jouant par séquence. À un certain moment, nous menions 8-4 avant de les voir prendre un temps mort pour briser le rythme. La stratégie fonctionna puisqu'ils ont pris les devant 10-9 après cela. Nous sommes quand même allé chercher la demi en marquant les deux points suivant.
Après la demi, nous nous sommes mis en marche puisqu'ils ont pris un autre temps mort alors que le pointage était de 16-11 ou quelque chose comme ça. Encore une fois, malgré le fait qu'on se soit dit qu'il fallait garder notre focus, nous nous sommes fait remonter et tirions de l'arrière 22-20 avant que notre capitaine décide, lui aussi, de prendre un temps mort. Le temps commençait à manquer et nous devions ne ressaisir pour la fin du match. Malheureusement, le tempo n'a pas changé comme nous l'espérions et avec trois minutes à faire, nous n'avions pu remonter la pente et le pointage était 25-22. Contre toute attente, et sans que je m'en rende compte, nous avons commencé à jouer comme nous sommes capable de le faire. Notre défensive c'est illustrer en faisant de gros jeu dès le début de point, ce qui nous mettait en position de faire un point rapidement. Lors de la dernière minute, nous avons réussi à égaliser le pointage 25 partout et nous étions donc obliger de jouer un point supplémentaire afin de départager les deux équipes. Étant un joueur qui apprécie plus que tout de faire un gros jeu défensif (une grosse D dans notre jargon) j'aime bien surveiller le lanceur dès le départ d'un point car j'ai de bonne aptitude à bloquer la passe lors d'un lancer. Malheureusement pour moi, le lanceur était gaucher et j'ai toujours eu de la difficulté à marquer un lanceur gaucher. Qu'à cela ne tienne, nous devions faire une grosse D pour reprendre la possession du disque et ainsi avoir une chance de gagner le match. La première passe fut compléter le long de la ligne mais de quelques mètre seulement. La joueuse décida à ce moment de redonner le disque à mon joueur qui c'était déplacé un peu plus vers le centre. C'est à ce moment que ma première D contre un joueur gaucher se produisit! Nous avions donc le disque à la porte des buts et Raph, le joueur le plus complet de notre équipe prend possession du disque. Je me met face à lui dans la zone de but, Val est en dump et Dany, notre meilleur handler est un peu plus loin et il essai de se faire oublier du jeu. Raph passe à Val et lorsque nos regards se croise, je sens qu'elle veut faire un hammer qui se trouve a être un lancer difficile à faire et à attraper en ma direction. Moi je ne suis pas à l'aise à recevoir se type de lancer à cet instant d'autant plus que je sais que Dany est disponible pour le swing à sa gauche et que si elle fait cette passe, je n'aurai qu'à courir dans le bris pour recevoir une passe facile puisque mon couvreur sera dans mon dos. Je cri donc à Val "À dany!" en pointant vers sa droite. Dès qu'elle lance le disque, je décolle vers ma gauche et la passe que je voulais m'arrive directement dans les mains! C'est ainsi que notre deuxième remonter spectaculaire en moins de deux semaines se conclu par une victoire in extremis! Par contre, celle là à bien meilleur goût personnellement et aussi pour l'équipe puisqu'elle nous permet de finir premier de la division 4. Lorsque nous avons débuté la saison à l'automne, nous étions classé environ 50e sur 76 et nous avons terminé la saison 25e! En plus, terminé le match par une D et le point de la victoire pendant un match ou je n'ai jamais vraiment pris mon rythme est vraiment satisfaisant. Même la Coors light après la partie était bonne!
Nous avons maintenant un mois de congé avant le début de la saison d'été ou plusieurs joueurs de l'été passé nous rejoindrons. Nous accueillerons aussi quelques nouveaux joueurs afin de compléter notre alignement et nous espérons ainsi faire aussi bonne figure cet été!
Le match c'est déroulé en plusieurs temps car on s'échangeait souvent plusieurs points par séquence, les deux équipes jouant par séquence. À un certain moment, nous menions 8-4 avant de les voir prendre un temps mort pour briser le rythme. La stratégie fonctionna puisqu'ils ont pris les devant 10-9 après cela. Nous sommes quand même allé chercher la demi en marquant les deux points suivant.
Après la demi, nous nous sommes mis en marche puisqu'ils ont pris un autre temps mort alors que le pointage était de 16-11 ou quelque chose comme ça. Encore une fois, malgré le fait qu'on se soit dit qu'il fallait garder notre focus, nous nous sommes fait remonter et tirions de l'arrière 22-20 avant que notre capitaine décide, lui aussi, de prendre un temps mort. Le temps commençait à manquer et nous devions ne ressaisir pour la fin du match. Malheureusement, le tempo n'a pas changé comme nous l'espérions et avec trois minutes à faire, nous n'avions pu remonter la pente et le pointage était 25-22. Contre toute attente, et sans que je m'en rende compte, nous avons commencé à jouer comme nous sommes capable de le faire. Notre défensive c'est illustrer en faisant de gros jeu dès le début de point, ce qui nous mettait en position de faire un point rapidement. Lors de la dernière minute, nous avons réussi à égaliser le pointage 25 partout et nous étions donc obliger de jouer un point supplémentaire afin de départager les deux équipes. Étant un joueur qui apprécie plus que tout de faire un gros jeu défensif (une grosse D dans notre jargon) j'aime bien surveiller le lanceur dès le départ d'un point car j'ai de bonne aptitude à bloquer la passe lors d'un lancer. Malheureusement pour moi, le lanceur était gaucher et j'ai toujours eu de la difficulté à marquer un lanceur gaucher. Qu'à cela ne tienne, nous devions faire une grosse D pour reprendre la possession du disque et ainsi avoir une chance de gagner le match. La première passe fut compléter le long de la ligne mais de quelques mètre seulement. La joueuse décida à ce moment de redonner le disque à mon joueur qui c'était déplacé un peu plus vers le centre. C'est à ce moment que ma première D contre un joueur gaucher se produisit! Nous avions donc le disque à la porte des buts et Raph, le joueur le plus complet de notre équipe prend possession du disque. Je me met face à lui dans la zone de but, Val est en dump et Dany, notre meilleur handler est un peu plus loin et il essai de se faire oublier du jeu. Raph passe à Val et lorsque nos regards se croise, je sens qu'elle veut faire un hammer qui se trouve a être un lancer difficile à faire et à attraper en ma direction. Moi je ne suis pas à l'aise à recevoir se type de lancer à cet instant d'autant plus que je sais que Dany est disponible pour le swing à sa gauche et que si elle fait cette passe, je n'aurai qu'à courir dans le bris pour recevoir une passe facile puisque mon couvreur sera dans mon dos. Je cri donc à Val "À dany!" en pointant vers sa droite. Dès qu'elle lance le disque, je décolle vers ma gauche et la passe que je voulais m'arrive directement dans les mains! C'est ainsi que notre deuxième remonter spectaculaire en moins de deux semaines se conclu par une victoire in extremis! Par contre, celle là à bien meilleur goût personnellement et aussi pour l'équipe puisqu'elle nous permet de finir premier de la division 4. Lorsque nous avons débuté la saison à l'automne, nous étions classé environ 50e sur 76 et nous avons terminé la saison 25e! En plus, terminé le match par une D et le point de la victoire pendant un match ou je n'ai jamais vraiment pris mon rythme est vraiment satisfaisant. Même la Coors light après la partie était bonne!
Nous avons maintenant un mois de congé avant le début de la saison d'été ou plusieurs joueurs de l'été passé nous rejoindrons. Nous accueillerons aussi quelques nouveaux joueurs afin de compléter notre alignement et nous espérons ainsi faire aussi bonne figure cet été!
Le comble de la mode!
Ce matin, en allant à la cafétéria, j'ai croisé deux filles qui avait un petit quelque chose de spécial.
La première avait un chandail rose, la seconde un chandail bleu.
La première avait des monture rose, la seconde des bleus!
Elles fittaient jusque dans leur monture!
La première avait un chandail rose, la seconde un chandail bleu.
La première avait des monture rose, la seconde des bleus!
Elles fittaient jusque dans leur monture!
Couch surfing!
Un samedi soir comme ça faisait longtemps que j'en avais pas eu. Dave qui vient souper chez nous après avoir monter sa première brouette. Il amène deux gros steak et à la présence d'esprit d'amener son poêle Coleman parce qu'il sait que je n'ai pas de BBQ. Cool des gros steak sur le BBQ, faisait longtemps. On mange tard, on mange pendant longtemps et surtout, on boit de la bière! Belle soirée en perspective. Petit accroc à la soirée, on se rend compte que le plan initial tombe à l'eau et qu'on est plus ou moins motivé à chercher un plan de rechange parce que, pour moi entk, je suis bien dans mon couch! Commence à faire quelques appels et puis la, y'a un matt qui décide que son film peut très bien s'écouter un autre jour et décide de rappliquer avec sa Maryse pour passer du bon temps à cette première fin de semaine de célibataire avec Dave et moi.
En fin de compte, les bières s'empilent à peu près au même rythme que les buts des Hacks contre les Canucks et un peu moins que les morts dans le film Nous étions soldats avec Beirut en trame de fond. Matt qui n'était pas sur de bien aimer ce band se rend compte que ça s'écoute bien! J'ai peut-être enfin réussi à le convaincre d'aimer ce band là!
En fin de compte, tout le monde est parti un peu après minuit et j'ai pu finir d'écouter Nous étions soldats en me disant que je pouvais me lever tard le lendemain.
En fin de compte, les bières s'empilent à peu près au même rythme que les buts des Hacks contre les Canucks et un peu moins que les morts dans le film Nous étions soldats avec Beirut en trame de fond. Matt qui n'était pas sur de bien aimer ce band se rend compte que ça s'écoute bien! J'ai peut-être enfin réussi à le convaincre d'aimer ce band là!
En fin de compte, tout le monde est parti un peu après minuit et j'ai pu finir d'écouter Nous étions soldats en me disant que je pouvais me lever tard le lendemain.
Toujours le même problème!
Bon, j'ai décidé d'abdiquer et de ne plus attendre des commentaires de ceux qui me lisent, si ceux-ci sont encore vivant et qui ne sont pas de simple robot de google et compagnie qui indexe le web.
On va voir si cela va faire en sorte que mon style d'écriture va se modifier...
On va voir si cela va faire en sorte que mon style d'écriture va se modifier...
Suis loin d'être prêt!
Vendredi soir, pour me changer les idées et pour leur rendre service, King Dave et Stef me proposent de garder Arthur pendant leur cours d'équitation en échange de quelques pointes de pizza à leur retour. La journée a été longue et malgré le fait que j'ai dormi quand même beaucoup la veille je suis fatigué, il va falloir que je commence à me pencher sur ce problème un jour ou l'autre.
Donc je me dirige chez Dave tout de suite après le boulot et vers 18h00, lorsque les parents quittent, je me retrouve seul avec un enfant qui fait des phrases contenant un seul mot et qui faut surveiller 60 secondes sur 60 pour la première fois de ma vie, bonjour les responsabilités!
On commence à jouer au hockey dans le sous-sol. Dave a le bon réflexe de commencer à éduquer son fils jeune sur les trucs important dans la vie alors il a deux mini-buts et des hockey pee-wee. Sauf que bon, Arthur ne comprend pas encore qu'il faut lancer la balle dans les buts alors il s'amuse a lancer la balle un peu partout mais bon il s'amuse c'est ça l'important!
Après peu de temps, on remonte en haut et la il veut s'amuser avec la pâte à modeler. Ça été son activité préféré de la soirée, surtout quand j'ai entouré sa main de pâte et que je revolais en faisant du bruit lorsqu'il me touchait le nez.
J'avais peur de trouver le temps long mais en fin de compte, ça n'a pas été si pire que cela, ça lui a pris un bon 40 minutes à souper et je vais me souvenir longtemps de son regard à chaque boucher qu'il prenait afin de s'assurer qu'il ne prenait pas de trop grosse bouchée!
Mise à part un ou deux petits moment plus down, y'a rien de mieux que l'énergie d'un enfant de deux ans pour se changer les idées et se faire étamper un sourire dans face. Mais bordel que je respecte les parents de s'en occuper pendant 24 heures! Un enfant, ça suce du jeu sans bon sens! À leur retour, j'étais bien content de pouvoir m'asseoir un peu sans avoir à me préoccuper qu'il ne se fasse pas mal et malgré la fatigue, je suis quand même aller rejoindre des amis pour terminer la soirée.
Donc je me dirige chez Dave tout de suite après le boulot et vers 18h00, lorsque les parents quittent, je me retrouve seul avec un enfant qui fait des phrases contenant un seul mot et qui faut surveiller 60 secondes sur 60 pour la première fois de ma vie, bonjour les responsabilités!
On commence à jouer au hockey dans le sous-sol. Dave a le bon réflexe de commencer à éduquer son fils jeune sur les trucs important dans la vie alors il a deux mini-buts et des hockey pee-wee. Sauf que bon, Arthur ne comprend pas encore qu'il faut lancer la balle dans les buts alors il s'amuse a lancer la balle un peu partout mais bon il s'amuse c'est ça l'important!
Après peu de temps, on remonte en haut et la il veut s'amuser avec la pâte à modeler. Ça été son activité préféré de la soirée, surtout quand j'ai entouré sa main de pâte et que je revolais en faisant du bruit lorsqu'il me touchait le nez.
J'avais peur de trouver le temps long mais en fin de compte, ça n'a pas été si pire que cela, ça lui a pris un bon 40 minutes à souper et je vais me souvenir longtemps de son regard à chaque boucher qu'il prenait afin de s'assurer qu'il ne prenait pas de trop grosse bouchée!
Mise à part un ou deux petits moment plus down, y'a rien de mieux que l'énergie d'un enfant de deux ans pour se changer les idées et se faire étamper un sourire dans face. Mais bordel que je respecte les parents de s'en occuper pendant 24 heures! Un enfant, ça suce du jeu sans bon sens! À leur retour, j'étais bien content de pouvoir m'asseoir un peu sans avoir à me préoccuper qu'il ne se fasse pas mal et malgré la fatigue, je suis quand même aller rejoindre des amis pour terminer la soirée.
vendredi 1 mai 2009
À la Rob Gordon(High Fidelity)
Cette journée est toute désigné pour un petit top5!
Top 5 des tounes du jour qui frappe.
Juste une petite nuit - Les Colocs
Coccon - Jack Johnson
House of cards - Radiohead
Superstar - Sonic Youth
The first day of my life - Bright Eyes - dans une classe à part
Top 5 des tounes du jour qui frappe.
Juste une petite nuit - Les Colocs
Coccon - Jack Johnson
House of cards - Radiohead
Superstar - Sonic Youth
The first day of my life - Bright Eyes - dans une classe à part
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