mardi 26 mai 2009

Surprise inattendue

Les premiers rayons de soleil commençaient à faire leur entré dans la chambre. Habituellement, j’arrive à dormir malgré la lumière qui entre dans ma chambre mais ce matin, on dirait que je me suis éveillé dès que la chambre s’éclaircit. J’en ai profité pour fermer le cadran et de me lever sans faire de bruit pour ne pas te réveiller en direction de la douche. Je n’aime pas prendre une douche le matin puisque pour moi, la douche est source de détente et je n’aime pas la sensation de l’eau qui me réveille pour de bon. Mais avec la nuit que nous venons de passer, je ne peux pas sortir de chez moi sans faire ma toilette. Un petit sourire se profila sur mon visage encore endormi en repensant à tout cela.

Tu m’avais fais une surprise en arrivant à l’improviste alors que je te croyais endormi chez toi. Tu es entré sans faire de bruit et c’est seulement en entrant dans ma chambre alors que je lisais un peu avant de dormir que j’ai eu conscience de ta présence. Tu t’étais organisée pour que la surprise soit totale car tu avais mis cet ensemble si aguichant. Ton bustier noir était simple mais il t’allait comme un gant en ramenant tes seins l’un vers l’autre et en accentuant la courbe de tes hanches. Ta petite culotte mettait en valeur tes fesses rebondies et cachait juste assez de ta peau pour que mon imagination s’affole. J’ai eu de la difficulté à avaler la boule de poil qui venait d’apparaître comme par magie dans le fond de ma gorge et le reste de mon visage devait traduire le même état de surprise puisque ton grand sourire illumina ton visage avant de me dire.

Alors mon chou, tu as toujours mal au dos ? Laisse-moi voir cela de plus prêt !

Je n’ai même pas eu le temps de dire ou de faire quoi que ce soit que tu étais déjà à mes côtés à me faire signe de me retourner sur le ventre en allumant la chandelle que je laisse toujours sur la table de nuit. Je m’exécutai pendant que tu appliquais l’huile à massage dans tes mains et tu commenças à me masser le dos afin de détendre ces muscles endoloris. Après quelques minutes de tes bons soins, ma respiration commença à être plus profonde et mon dos répondait mieux à tes pressions. J’avais presque oublié l’excitation que j’avais éprouvée en te voyant entrer lorsque tes mains commencèrent à malaxer mes fesses. Tes mains descendirent tranquillement vers mes cuisses que tu traitas avec la même attention que le reste de mon corps. Je ne sais pas si tes caresses avaient changées ou si c’est simplement mon esprit qui me jouait des tours mais j’avais de plus en plus de difficulté à contrôler mon excitation. Tes mains baladeuse remontait de plus en plus vers mon entrejambes et tu allais presqu’effleurer mes testicules du bout de tes doigts. J’avais envie d’écarter mes jambes pour te facilités l’accès à mon sexe mais une partie de moi me disait de ne rien faire et de te laisser le contrôle, du moins pour l’instant.

Allez chéri, retourne-toi que je te masse les pieds maintenant.

Ta voix sensuelle me ramener sur terre et je m’exécutai, espérant que tu ne t’éternise pas trop sur cette partie du corps afin que je ne perde pas cet élan que tu venais de me donner.

Mes peurs furent tout ce qu’il y a de plus infondés puisque tu me donner le massage de pied le plus sensuel qu’il m’ait jamais été donné ! En plus, comme je suis maintenant sur le dos, je peux maintenant en profiter pour regarder ton corps autant que je le désire à la lueur dansante de la chandelle. Tu commenças à masser mes pieds et de la façon dont tu étais placé, j’était dans l’angle parfait afin de contempler tes seins qui se dressait fièrement dans ton bustier qui semblait maintenant trop petit pour ces seins gorgés de plaisir. Tu te penchas au niveau de mes pieds et c’est avec un regard langoureux que tu commenças à sucer chacun de mes orteils. Ce simple regard eu l’effet d’un coup de canon au niveau de mon pénis et il se dressa comme tel en une fraction de seconde. Après quelques minutes qui parurent des heures de pur plaisir tu recommenças le même manège avec mon autre pied. Cette fois-ci je remarquai que tes hanches suivait le rythme de tes caresses, puisque rendu la, je ne peux plus appeler cela un massage. Tu remontas tranquillement en massant à nouveau mes cuisses et c’est à ce moment que j’ai remarqué que tu avais maintenant de plus en plus de difficulté à quitter mon sexe du regard. Tu devais être de plus en plus excitée toi aussi par ce supplice que tu étais en train de me faire subir. J’imaginais ta culotte imbibée de cyprine et à cette simple pensée, il me sembla reconnaître ton odeur dans mes narines. Nos regards ce sont croisés et pendant quelques secondes, tes caresses ont cessées ou c’est le temps qui c’est arrêté, je n’en sais rien mais j’y ai vu toute l’envie que tu me portais et un grand sourire éclaira mon visage suivit d’une nouvelle secousse d’excitation qui fit trembler mon membre durcit qui manquait d’air sous ce boxer maintenant beaucoup trop serrer. Tu devais avoir lu dans ma tête parce que tu t’exclamas :

Ho chéri ! Mais c’est que tu es à l’étroit ci-dessous ! Laisse-moi t’aider à te mettre à l’aise.

Tu enlevas mon boxer et tu laissas échapper dans un soupir d’envie et tes yeux avides fixés sur mon sexe bien droit, tout content d’être à l’air libre et d’avoir enfin un peu d’attention :

Bon, que les choses sérieuse commence maintenant !

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