vendredi 24 juillet 2009

Sous la pluie

Il pleut encore. Depuis plusieurs semaines, il pleut plus souvent qu’autrement. Mais ce soir contrairement au mois de juillet qu’on vient de vivre, il pleut et il fait chaud, le genre de pluie qu’il fait bon recevoir sur la tête, comme dans la douche. Je n’ai rien à faire de bon alors je me roule un pétard et je sors avec mon lecteur mp3 sur les oreilles pour marcher dans le bois, sous la pluie alors qu’il n’y a personne qui ose sortir par un temps pareil. La pluie tombe drue et la plupart du monde préfère rester au sec chez soi. Moi, je sors comme si j’allais à la plage, sandales, maillot de bain et un t-shirt le plus mince possible. De toute façon, je vais être trempé en moins de deux. Je mets l’album Végétal d’Émilie Simon, allume le joint et sort braver la météo.

La pluie qui tombe sur ma tête me détend et je suis heureux d’avoir pris la décision de sortir marcher malgré la pluie. Je lève les yeux au ciel afin de sentir la pluie directement sur mon visage, je suis mouillé de par en par.

Arrivé à la lisière du bois, les effets de l’herbe se font sentir ; je suis capable de suivre au centimètre près une goûte couler le long de mon dos en même temps que l’herbe qui me chatouille le pied gauche alors que je m’engage dans le sentier.

La pluie sous les arbres tombe aussi fort mais les goûtes ne sont pas toutes de la même grosseur et j’en reçois parfois des grosses goûte qui éclate à mon visage ce qui me fait sourire. Étant dans ma bulle à m’efforcer de ressentir tout ce qui m’entour, je n’ai pas vu cette fille approcher sur le sentier. Elle est un peu plus petite que moi, a les cheveux aux épaules et ils sont probablement moins long que cela lorsqu’ils sont sec. Ces beaux yeux verts me sourient autant que sa bouche qui brille un peu soit à cause de la pluie ou d’un reste de gloss qu’elle aurait appliquée plus tôt dans la journée. Sa camisole lui colle à la peau et mon regard est attiré malgré moi vers ces seins qui ne sont probablement pas d’accord avec ma définition d’eau chaude puisqu’ils pointent fièrement. Gêné d’avoir porté mon regard à cet endroit, je baisse la tête alors qu’on se croise et celle-ci continue sa route en se tournant vers la gauche alors que la fille passe à ma hauteur afin d’examiner le reste de son corps.

C’est seulement après m’être rendu compte que ces hanches ne suivaient plus le rythme sensuel de ces pas que je me suis rendu compte qu’elle s’était elle aussi retourné et me regardait avec un petit air coquin. Je bredouille des excuses inaudibles pendant alors que ces seins me font à nouveau face et qu’elle s’approche de moi tranquillement mais d’un pas décidé.

Tout en m’enlevant les écouteurs de sur les oreilles, elle m’embrasse sans avertissement. Elle goûte le melon et sent sucré. J’ai toujours eu de la difficulté à résister aux filles qui sentent sucré ou n’importe quel fruit mais de toute façon sa langue est déjà en train de danser avec la mienne alors je ne crois pas avoir pu résister d’une façon ou d’une autre. Ces mains caresses mon dos et glisse très bien à cause de toute cette pluie qui m’est tombé dessus. Pendant ce temps, je termine l’observation de ce corps avec mes mains puisque je n’ai pas eu le temps de bien observer ce petit cul qui se déhanchait sous la mini-jupe bleue qu’elle porte. Je remonte mes mains le long de ces cuisses vers ces fesses rebondies. Elles sont douces et ferme mais encore plus important, démuni de tout sous-vêtement. Je n’ai aucune idée pourquoi cela excite autant les hommes mais manifestement, ce petit détail était voulu puisqu’elle sourit malicieusement après m’avoir mordu la lèvre inférieure. Cette fille me plaît et alors qu’elle me grafigne le dos de ces deux mains, elle me dit doucement à l’oreille qu’elle a envie de moi maintenant. C’est alors que la bosse qui commençait à pondre dans mon maillot de bain c’est fait plus imposante. Elle avait fini par m’avoir !

Je me suis éloigné lentement d’elle à reculons en la fixant intensément. J’en profite pour défaire mon maillot et lorsque mon dos s’appuya contre un arbre, je le laissai tomber par terre. Elle m’avait suivit comme un prédateur suit sa proie et elle paraissait satisfaite de me voir ainsi acculé à un arbre ne pouvant plus reculer. C’est alors que je la pris par la taille et fit un demi-tour. Mon sexe gonflé de plaisir frappant son ventre, j’entrepris de l’embrasser dans le cou. De la main gauche, je pris sa cuisse droite et la serra contre mes hanches. Elle comprit rapidement mon plan et s’accrocha à mon cou alors que je faisais le même mouvement avec son autre jambe. Tranquillement, je la laissai descendre le long de mon corps. Elle s’empala sur mon sexe et son visage se crispa lorsque mon gland frémissant écarta ces lèvres. C’est l’un des moments les plus intenses lorsqu’on entre dans une femme tranquillement, qu’on sent chaque centimètre parcouru vers cet antre chaud et humide aussi accueillant.

Par contre, c’est difficile de tenir un rythme aussi lent alors qu’on maintient la fille en place dans les airs. Malgré la pluie qui rendait le sol glissant, je la maintenais maintenant en place son dos sur l’arbre et commençai à aller et venir en elle à un rythme plus soutenu. Elle serra ces jambes à mon corps non seulement afin d’être plus stable mais aussi afin de mieux sentir ma verge en elle. Rapidement, notre respiration devient plus bruyante et saccadé, la sueur se mêla à l’eau de la pluie et des grognements de satisfaction s’échappent de nos bouches de plus en plus souvent. Tout devient flou autour de nous pour finalement disparaître. Je ne sentais même plus l’eau tombé sur moi. Par contre, toutes caresses semblait être décuplés ton souffle sur ma chair me faisait frissonner. Très rapidement, je sentis l’extase monté en moi. Tu me supplias de continuer, que toi aussi tu sentais que la fin approchais et j’explosai finalement lorsque tu m’enroulas de tes jambes. Tranquillement, j’entendis la pluie tomber à nouveau, je sentis le vent nous frapper et la forêt autour de nous réapparu. Tu me regardas tendrement et me demanda :

-J’ai faim, es ce qu’on va manger ?
-Oui, le souper devrait être prêt à l’heure qu’il est.

Et on se dirigea lentement vers notre appartement.

2 commentaires:

POF a dit...

Non arrête, ce n'est pas vrai! Pourquoi ca n'arrive jamais à moi des trucs comme ca?

Unknown a dit...

T'inquiète...
Comme tout le reste qui est sous coquin, ça sort juste de ma tête quand il y a un trop plein d'imagination.

Suis juste incapable d'écrire autrement qu'au je :)